Hôpital Assène et Pétar I

Mais qu'est ce que tu racontes ma pauvre? Des pommes maintenant. (des poires et des scoubidoubidouah)

Tu as mangé un exorciste ou quoi, tu aurais dû mieux choisir tes amants Pansy. Un dernier mot peut-être? Je me ferai une joie de le répéter à Drago.

Guenyver Fairfield a écrit:

-En tout cas vos ennemis sont soit complètements idiots, soit très machiavéliques... Si ça concerne le dernier cas vous devriez prendre l'affaire un peu plus au sérieux.
Enfin si vous ne souhaitez pas porter plainte s'est votre affaire.

*..même si j'aurais préféré pouvoir jeter un coup d'oeil sur cette lettre..*

Oh ne vous inquiétez pas, je vais faire plus attention et surtout je vais demander un bilan des mesures de sécurité dans tous nos bâtiments officiels, vraisemblablement on y entre comme dans des moulins.

Miss Scott, je vous serais reconnaissante de faire une déclaration à la presse, disant que j'ai eu un petit accident ou malaise et que le ministère est ravi d'annoncer que la ministre attend un bébé et patati etc... je vous fais confiance pour la forme.

Mademoiselle Fairfield Black puisque cette affaire n'est plus de votre ressort, le ministère va sans doute vous confier une mission en Ecosse. Je m'occuperais des papiers officiels à mon retour mais si vous voulez prendre de l'avance sur vos dispositons.

*n'aime pas trop qu'on lui donne des ordres. En fait, n'aime pas ça du tout. N'aime pas non plus qu'on lui retire une affaire, même minime surtout quand c'est par intervention directe du Ministre. N'aime pas les abus de pouvoirs....Bref, n'aime pas ce qu'elle vient d'entendre.
Essaye néanmoins de ne pas le laisser trop paraitre.*

-Bien. je préviendrais quelqu'un pour escorter la forcenée. Et j'attendrais des ordres de mes supérieurs pour le reste. Le centre de l'Interpolice est à Vienne si vous voulez lui adresser vos voeux de mutations...

*ouvre la porte*

-enfin je vais quand même commencer à prendre mes "dispositions"

*sort*

*habituée au caractère de Guenyver, ne s'étonne pas de sa réaction... préfère se concentrer sur le discours de la Ministre, même si elle désapprouve d'écarter ainsi ce qui vient de se passer*

-Bien, je contacterais la Gazette aujourd'hui même. Je comptais aussi prévenir Percy Weasley dès que je serais de retour à l'ambassade...

Oui très bonne initiative, faîtes un communiqué officiel ce sera parfait.

Si vous voulez rentrer, allez y je vous en prie. Le comte Andrassi me ramènera, ne vous inquiétez pas.

*Lui sourit*

Comte Serguei Andrassi a écrit:

Pansy Parkinson a écrit:

... Il faut réduire à néant cette chienne et ses batards !

*C'est sur cette dernière phrase que pénètre Sergueï. Pansy se fige et déglutit, comme si la vision d'un fantôme, envoyé des cieux contre elle, venait de s'imposer à elle*

La ferme Pansy, j'esperais que tu prendrais cette lettre au sérieux jusqu'à la dernière ligne. Rappelle toi, j'avais écrit quelque chose du genre, ne touche pas à Louve et sa fille. Mais c'est un fait tu n'écoute jamais Pansy. C'est bien dommage, bien dommage.

Tu vois ces fenêtres? Quand j'étais petit, et que j'accompagnais ma mère aux réunions des joyeux donateurs, je me suis toujours demander pourquoi ils ne les bloquaient pas il est tellement facile de les ouvrir. Un patient un peu dérangé pourrait facilement faire une mauvaise chute. Avec la médecine magique il serait sauvé mais à cet hauteur il resterait un beau légume, tranquille et silencieux.

*S'asseoit sur le lit et ne quitte pas Pansy des yeux la baguette toujours à la main.*

*Le regarde mauvaisement et souffle, dominant l'impression de perdre son âme -si si elle en avait une- qui la prend soudainement*

(Les femmes détestent ressembler à tout le monde, mais c'est pire quand elle ne ressemble à rien !)

Au vu des hésitations de l'homme entre le bien et le mal, c'est qu'il existe des navettes entre le paradis et l'enfer ...

*Laisse là les proverbes et reprend son discours digne des 3f (folie furieuse fanatique)*

Mais il est encore temps pour elle de se repentir. Si ce n'est par un autre, elle doit encore se flageller et remercier le Monde de cette possibilité de pardon

*Peut pas baisser sa baguette ...*

*Sourit lorsqu'elle comprend*

Tu ne vas pas te salir les mains n'est-ce pas ?

*Prend un air qu'elle risque de garder jusqu'à la fin de ses jours, un air ahuri*

J'ai droit à une dernière faveur ? Dernière faveur d'une condamnée ... tu ne peux pas refuser ... J'ai droit à ... toi ? Ne dis pas non c'est ssou insonorus !

*sourit en retour*

-bien, je vais y aller et vous laisser le comte... remettez vous le mieux possible, je repasserais en fin de journée avec des nouvelles du Ministère!

*sort de la chambre et tombe sur Gwen*

-Bon c'est quoi cette histoire de corbeau débile ou pas?

Oh une lueur d'intelligence soudaine à ce que je vois Pansy, tout arrive. Malheureusement pour toi Pansy il est trop tard. *Mais c'est pas vrai elle est irrécupérable. *Et je suis désolé mais je fais pas dans le social.
*Se redresse et se recule.*

IMPERO.

Tu vas compter jusqu'à 100 et tu vas ouvrir la fenêtre et sauter. Tu verras ce sera très rapide. Tu ne te réveilleras qu'aprçs cette action réalisée. Et il n'y aura plus de trace de cette malheureuse affaire dans ton esprit. Tu vas connaître la paix enfin.

*D'un autre geste de baguette détache les liens de Pansy mais pense à arracher le lien qui tenait son bras non blessé, ainsi on pensera qu'elle a réussi à se détacher toute seule.*

Adieu Pansy.

*Sort de la pièce fait un signe au vigile qui s'installe devant la porte et aperçoit Pansy toujours sur son lit.*

*Sergueï part vers l'entrée de l'hôpital et remonte plusieurs minutes plus tard avec un bouquet de fleurs achetées à l'accueil. Comme si de rien n'était*

*Refoule une larme, comprenant qu'elle va quitter sa fille, sa seule raison de vivre ... et son époux avant de lui avoir donné héritier. Néanmoins elle reste sagement assise et se met à compter pendant que l'Impérium commence à agir sur elle, sans chercher à se battre tant qu'elle le peut encore*

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...
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*Se lève et se dirige vers la fenêtre mais manque de trébucher avant de sauter et reste en partie suspendue dans les airs avant de s'éclater au sol la tête la première *

Lishena Scott a écrit:

*sort de la chambre et tombe sur Gwen*

-Bon c'est quoi cette histoire de corbeau débile ou pas?

*soupire en entendant cette question idiote, elle elle aurait préféré s'entretenir avec le médecin de l'état psychologique de la névrosée... Lishena l'avait habituée à être plus vive...*

-Bon on va faire simple, si l'andouille qui a écrit cette lettre anonyme pensait juste perturber la vie conjugale des Malfoy, elle a gravement sous estimé la tendance psychotique de Parkinson, ce qui revient à faire preuve d'une bétise sans nom... par contre, si cette personne voulait s'en prendre à la personne et à la réputation de la Ministre, elle ne pouvait pas mieux tomber... Il faudra investir un peu plus sur ce point, les raisons ne manquent pas en ce moment...

*se rend soudain compte que Guenyver doit bien être la seule personne dans l'hopital à ne pas savoir qui a écrit cette lettre...mais est coupée dans son élan par la dernière tirade de l'auror*

-Mais tu n'es pas censée abandonner les investigations?

-et me retrouver avec l'inspection interne sur le dos? Quand il y a tentative de meurtre sur la personne d'un ministre, même pour affaire passionnelle nous sommes tenus d'enquêter, quand bien même le ministre en question semble penser le contraire!
J'interrogerais la folle furieuse et je compte bien savoir qui a rédigé cette lettre, et déterminer si c'est un imbécile ou un nouveau Voldemort!

*se dit qu'il n'y a pas à chipoter plus longtemps, elle devrait informer Guenyver avant que tout ne finisse très mal...De toutes façons elle finirait par le savoir d'une façon ou d'une autre, incroyable comme elle est tétue, on dirait presque son oncle...(HJ: vous savez l'auror tétu et obstiné? celui qui n'aime pas les portes)*

-en fait...la lettre était signée, la Ministre n'en a pas parlé mais quand je l'ai lue à l'ambassade, elle portait le nom *dernière hésitation* du comte Serguei Andrassi, qui est selon les bruits de couloir *au point où on en est on peut bien le dire* le dernier amant en date de la Ministre.

-le dernier amant en date...bien sur. Et tu n'as pas trouvé pertinent de le signaler plus tot? bien. Bon tu vas pouvoir retourner à ton ambassade, à moins que tu n'ais ommis quelque autre détail d'importance... comme sa présence sur les lieux?

* se rend compte que c'était un peu mesquin et facile...*

-Excuse-moi...où peut on le trouver ce Comte Andrassi?

*Arrive comme une fleur, les bras chargé de.... fleurs.*

Mais je suis juste derrière vous, lieutenant, et j'aimerais rejoindre ma femme assez rapidement. Et au cas où son excellence Scott aurait un trou de mémoire je n'étais pas à l'ambassade cet après-midi puisqu'un elfe de maison est venu me chercher à ma résidence, pour me prévenir de ce tragique incident.

*Regard perçant bleu (genre Malefoy grand-père)*

-votre femme?

*ne relève pas plus ce détail*

-Bien, si vous êtes pressé, vous pourrez m'expliquer rapidement et précisément la raison de la lettre que vous avez fait parvenir à Pansy Malfoy, lettre étant, je vous le rappelle la cause de ce "tragique incident".

*répond à ce regard malfoyesque, par le sourire sardonique blackien, marque déposée.*

*Louve tu as encore oublié de me signifier un léger détail, je peux pas tuer tout le monde....*

J'ignore tout de cette lettre lieutenant, et je ne vois pas du tout quel aurait été mon intérêt à pousser madame Malefoy à attaquer ma femme. Je pense que madame la Ministre a dû vous faire par des relations difficiles qu'elle entretenait à Poudlard avec les futurs époux Malefoy. Les Callander et les Malefoy se détestent depuis quelques générations, après tout c'est la mère de Louve qui était ministre lors des combats contre Voldemort et ses acolytes.

Avez vous d'autres questions?

*eh bien en voilà un qui aime s'écouter parler...*

*n'a rien à redire pour le moment effectivement, puisqu'elle ne se base que sur des présomptions...*

-Non, effectivement je ne voit pas pourquoi vous auriez envoyé cette lettre vous ne rentrez pas du tout dans la catégorie des imbéciles...

*mais il reste celle des froids calculateurs*

*s'éloigne de la porte de la chambre de la Ministre*

-Mais allez donc rejoindre votre femme Excellence... n'oubliez pas son alliance en partant, elle a du lui être enlevée pendant l'intervention médicale....

*l'ironie était facile...*

*Au moment où le Comte allait répondre, un grand cri retentit dans la cour. Dix secondes plus tard les médecins passent en courant et Guenyver entend l'un d'entre eux dire*

-....psychotique de la 82....

*prise d'un doute soudain elle se précipite vers la chambre de Malfoy, ouvre la porte d'un coup sec... et la découvre désepérement vide, la fenêtre ouverte...*

-Holy Shit!

*Lui jette un regard noir, très bleu foncé si vous préférez. Mais ne répond pas puisqu'un tragique accident vient de se produire.*

*Comme je suis étonné!!!! Oh Pansy sait compter jusqu'à cent, lentement mais surement.^^*

Par tous les dieux, mais que se passe-t-il donc?

*Entre précipitement dans la chambre de Louve.*

Tout va bien ma mie? Ne vous inquiétez pas tout va bien, je vais chercher un vase pour les fleurs et je reviens.

*Donc a posé les fleurs et refermé la porte, avance vers la chambre de Pansy*

*penchée par la fenêtre elle aperçoit le corps inerte de Pansy Malfoy autour duquel s'affairent les médecins. Rapidement, il s'avère que la patiente est toujours vivante, mais en état de mort cérébrale, sans rémission aucune...un vrai légume quoi.
Referme la fenêtre sèchement et regarde autour d'elle histoire de voir quelque chose qui pourrait suggérer une autre raison que le suicide pour ce vol plané.
Ne trouve rien d'apparent, si ce n'est le regard froidement affligé de l'ambassadeur bulgare.*

-Vous allez me dire que ce n'est qu'un autre tragique accident bien sur? Mauvaise journée pour la journée Malfoy...Oui le mari a été arrêté ce matin en Ecosse, une circulaire a été diffusée dans les locaux de l'Interpolice...

*c'est moi ou c'est un éclair de triomphe là derrière son air affligé qui ne gagnerait pas un Circé Award?*

*A quand même entendu un grand cri et après la visite éclair de Sergueï se dit qu'il se passe quelque chose de grave encore.*

*Se lève, ouvre la porte, voit Lishena figée sur place.*

Mais enfin qu'est ce qui se passe encore? Pourquoi vous êtes encore là vous?

*Se précipite vers la chambre devant laquelle se tient Sergueï et entend la dernière phrase de l'auror. Pousse Sergueï et avance vers la fenêtre qu'elle ouvre pour voir par elle même l'étendu des dégâts. Pansy est sur une civière avec une espèce de bulle sur la tête (respirateur sorcier). Se tourne vers Sergueï, effrayée, ne semblant pas en croire ses yeux.*

Jure moi... * euh mauvaise idée pas maintenant.* ... dîtes moi que ce n'est pas possible, mais enfin personne n'a pensé qu'elle pouvait commettre un tel acte?

*constate l'arrivée inopinée de la Ministre, et de Lishena à sa suite. Surprend un regard évocateur entre la convalescente et l'ambassadeur.*

*oui eh bien s'il n'est pas trempé la-dedans jusqu'au coup moi je suis Neville Londubat...*

*se tourne vers la Ministre*

-Eh bien je suis désolée, mais la mort d'un citoyen anglais appelle une enquête même minimale, et comme je suis là, vous ne verrez pas d'inconvénients à ce que je pose quelques questions....

*regarde longuement l'ambassadeur qui ne semble pas ravi que sa chère et tendre ait quitté sa chambre....*

-...je commencerais par les médecins si vous le permettez...

*arrête d'être obséquieuse et quitte la chambre. croise Lishena*

-Tu ferais mieux de rentrer à l'ambassade, et reste un brin prudente, on ne sait jamais!

*s'éloigne à la recherche du croate tourmenté*

*Après le départ de l'auror, s'avance vers Louve et lui prend le bras (comme pour la soutenir mais un peu plus fermement).*

Vous devriez retourner vous coucher très chère, pensez un peu au bébé, il faut vous ménager. On ne peut plus rien, malheureusement, pour madame Malefoy.

Votre excellence, pouvez vous envoyer un hibou à Sainte Mangouste pour qu'ils envoient une équipe de médicomage pour le transfert de madame Malefoy en Angleterre? Le plus tôt sera le mieux, n'est ce pas Louve?

*Louve acquiesse d'un signe de tête, le mine de plus en plus déconfite.*

*Traverse le couloir sans un regard pour les badauds et entre dans la chambre de Louve avant de refermer la porte derrière eux.*

*et dire que je pensais que la diplomatie était un milieu de crabes... les sangs-purs doivent avoir un gène pour le complot et la dissimulation il faudra que j'en parle à Gareth...*

*ne répond pas à Andrassi qu'elle considère différemment après les derniers évènements... Après tout elle a été élevée à la même école que Guenyver...
Traverse le couloir, emprunte une cheminée et se rend à l'ambassade*

*après avoir parcouru le rez de chaussé de l'hopital à la recherche du médicomage, finit par le trouver penché sur Pansy Malfoy et sa bulle. N'accorde qu'un regard rapide à la femme avant de se tourner vers le médicomage, plutot avenant d'ailleurs...si elle avait compté passer plus de temps en Bulgarie... Mais elle a autre chose à faire que penser à la gaudriole. Préfère donc entrer directement dans le vif du sujet*

-Alors ce profil psy, ça donne quoi?

*le médecin la regarde d'un air affligé par tant de froideur*

-Je n'ai pas eu le temps de le faire. Mais vous êtes costauds vous les anglais. Malgré une dose importante de sédatifs elle a réussi à se libérer et sauter.

*regarde la victime qui respire paisiblement entre deux ecchymoses*

-Mais je ne pense pas qu'elle était suicidaire. Au vu du discours...une crise de démence plus probablement.

-Et vous pourriez voir si elle a subi un sort, disons, oubliettes, insania, impero?

-Avec la boite cranienne dans cet état? vous plaisantez ou quoi?

-Ca se verrait croyez-moi. Et au niveau de la surveillance, vous n'avez que les gardes d'étages?

-Oui vous vous attendiez à Azkaban?

*grommelle en entendant la réponse du médicomage. Elle n'a plu qu'à interroger tous les gardiens de l'étage... se retourne avant de partir*

-Dr..euh...*lit le nom sur la blouse* Kovac c'est ça? Prévenez moi si jamais vous trouvez quelque chose d'autre sur la....victime. Je serais à l'ambassade d'Angleterre.

*finit par retourner à l'étage et passe l'heure suivante à interroger les gardiens et le personnel. Evidemment personne n'a rien vu... Et pourtant elle a l'intime conviction qu'il y a quelque chose qui cloche. Rageuse, décide de gagner l'ambassade en attendant mieux.*