Aux Enfants de la Nuit Greyback + Andrassi + Farder

Ministère

*de retour de la prise de pouvoir au Ministère, a ordre de ne pas bouger. Commande à manger, mange et ne bouge pas. Et pour mieux le faire, s'allonge sur son lit en fixant le plafond.

Et fait de son mieux pour ne pas écouter le corbeau qui lui lance des croassements de reproches.*

-Alors fier de toi le gitan? jolie réussite que d'avoir permis un tel massacre... Et en quoi ça t'avance tout ça? Parce que la Roumanie c'est beaucoup plus à l'Est tu sais?

*Kaw évite de justesse une bottine puis l'autre, et se résigne à se percher sur une poutre hors d'atteinte. En silence.*

Quartier deshérité

*Rentre dans l'auberge le pas lent, des taches de sang sur la chemise et le regard éteint. Passe devant la chambre du garçon dont il sent la présence, puis entre dans la sienne, change de chemise, se lave longuement (aucun commentaires morgane merci : edit > rooohhhh.. si on peut plus rire....) et s'asseoit à la fenêtre. Lui aussi dort très peu.

Il reste éveillé en songeant à ses projets. Et ses yeux dorés semblent alors se ranimer.( siiiiicc... )*

*Quelques moments plus tard, toujours calme et satisfait, content dans le sent anglais du terme, descend commander à boire au propriétaire du bouge.

Alors qu'il s'installe au bar, sent une odeur qu'il a déjà perçu au Ministère. Une femme... celle qui a du s'occuper de Nott. Ne la quitte pas des yeux. Méfiant.

Et sirote sa vodka (pas de mélanges....)*

*Apparaît dans l'auberge et va s'installer aux côtés D'ani commande une vodka.*

Calmé?

*Calmé? qui me parle....?*

*Regard serein. Pourrait en rapprendre au plus grand des maitres zen.*

-Plus que ne doit l'être Drago Malfoy en ce moment.

*Finit son verre. Calmement. Il est toujours très calme après des nuits de ce genre...*

-Bien si tu veux parler à notre homme, passons ailleurs. Ce bouge est bien trop peuplé.

*Se lève et se dirige vers l'étage*

Mouais, j'aimerais en être persuadé, je te suis!

*Monte donc, et sans beaucoup de ménagement, frappe à la porte de Farder. L'espace d'une seconde image qu'il frappe Fairfield à la place....

Cesse de frapper la porte a pris un gnon.*

*Se lève en entedant tambouriner à la porte, se s'y dirige pour l'ouvrir.

Remarque la présence de Greyback l'air encore plus calme que d'habitude et oh que c'es mauvais signe, et d'Andrassi qui n'a pas l'air fumasse non plus.

Leur fait signe d'entrer, pas très frais. C'est qu'il commençait à dormir lui!*

-Rebonjour Messeigneurs. Donnez vous donc la peine d'entrer dans mon humble thurne...

*et retourne s'asseoir sur son lit, n'a aucun sens de la politesse élémentaire donc, puisqu'il n'y a nulle part d'autre où s'asseoir.*

*entre*

Bonsoirr Farrderr! Je vois qu'on ne t'a guèrre enseigner les bonnes manièrres. Sache qu'on ne s'asseoit pas devant un homme plus puissant que soi (et encorre moins devant deux), de même devant un prrofesseurr!

Mais tu as été trrès utile ce soirr, donc je t'éparrgnerrai. D'autant plus que je sais que tu vas m'êtrre trrès utile pas plus tarrd que tout de suite!

Rramasse tes affairres!

*L'homme plus puissant je le....espèce de comtillon à deux balles!*

*relève la tête, et une fois de plus joue avec les préjugés de ces idiots de gadjos d'europe de l'est ils sont encore pire que les autres.*

-Non je n'ai pas appris les bonnes manières. Je suis gitan. Et n'ayant jamais mis un quart d'orteil dans une école (c'est une question de principes), je serais bien à mal de savoir comment se comporter devant un professeur.

*Par contre il sait où se trouve le pouvoir. Et dans ce cas, il a très clairement estimé que ses chances de quitter la pièce en vie sans l'autorisation des deux hommes sont très très très restreintes. Se lève donc, en râlant pour la forme.

Récupère son violon, en éventrant une bonne fois pour toute le plancher et relance la conversation, ma foi aimable et cordiale et tout et tout...*

-Et pour aller où votre grandeur?


*Pendant tout ce temps, Anfauglir se marre. Se demande jusqu'où pourra aller le gitan avec Andrassi. Avec lui meme, il aurait droit à encore deux phrases.*

Ttttttt

*lève sa baguette vers Farder*

Doloris!

*un petit juste pour le calmer.*

Pas d'humourr avec moi jeune homme, nous n'avons pas voler les poules ensemble.
Je suis plus prroche du clan du loup!

Je t'offrre l'opporrtunité de rreprrendrre tes études en Frrance et de sorrtirr de ta pauvrre condition. Evidemment j'attend de toi quelque chose en rretourr!

*celle là il doit bien admettre qu'il ne l'attendait pas si tot. APrès tout Andrassi n'a pas du se défouler comme lui l'a fait. L'en a bien besoin aussi d'ailleurs...
Ne bouge pas d'un iota. Enjoy.*

*celle là il doit bien admettre qu'il ne l'attendait pas si tot. S'affaisse sur le sol, en proie à une douleur incroyable. Mais la plus importante est celle causée par le nom prononcé.*

-Le Clan du Loup?

*Et là bête réflexe, que la Ministre Bulgare aille se faire voir, ces gens là il ne les encadre vraiment pas, porte la main à sa ceinture, et y saisit son couteau. Du bol qu'il ne trouve pas autre chose...*

-Espèce de s*$£^^*$^*$ vous pouvez courir!

*Lève un sourcil. La réaction de Farder à l'écoute de cette histoire de clan est plus originale que sa réaction lorsqu'ils sont rentrés dans la pièce, mais il risque fort de la regretter.*

*lève un sourcil.*

Expulsio (ça fait plus mal)!

*Farder va s'écraser contre le mur*

Doloris. (tout petit)

*sourire amusé.*

Voyons, j'ai dit que j'avais besoin de toi. ne m'oblige pas à te livrrer à ce vieux Gaborr. Mon choix n'est pas encorre pleinement décidé. Mais il faudrra bien choisirr l'un des deux camps ne crrois-tu pas?

HJ: aieuh! mais pourquoi est il si méchant? euh...

*A laché le couteau du fait du choc et du sort. A le dos en vrac et mal delah, se relève pourtant, flageole un minimum, et lance un regard chargé de haine et de menaces au Comte.

S'appuie au mur, repousse lentement une de ses mèches le temps de retrouver le nord et réfléchir. Là tout de suite il voudrait faire la peau aux deux types devant lui. Mais comme il l'a justement remarqué il n'a aucune issue, ils sont beaucoup plus costauds, ils ont des baguettes et lui ne peut invoquer personne, n'a meme pas de démon sous la main. N'a que Kaw qui se planque.

D'autre part il ne tient absolument pas à voir débarquer la garde privée de Gabor. Le vieux porc n'attend que ça pour lui faire la peau et cette fois ci il n'ira pas dire qu'il est trop vieux pour mourir comme un prince (et ça mérite d'avoir mal un prince quand c'est exécuté).
Grince des dents. Silencieusement. Malgré toute la rage il a l'instinct de survie qui le pousse a accepter.*

-Je choisis toujours mon propre camp votre grandeur. Et que cela me plaise ou non il semble que mon intérêt soit de votre coté.

*réussit à se redresser en quittant l'appui du mur*

-Mais je suppose que vous avez prévu autre chose? Je pourrais tout aussi bien quitter cette école, et vous n'auriez plus de nouvelles avant d'en mourir.

*ça il n'a pas pu s'en empêcher.*

Effectivement mais ce serrait dommage de devoirr glisser au derrnier membrre de ton clan à qui il doit ce massacrre. J'ai crru entendrre que les bohémiens ont le goût des malédictions bien vicieuses. Ce dont je te dispense.

*le prend à la gorge de sa main libre.*

tu m'as bien comprris?

*Hôche la tête à sa place. et le repousse contre le lit*

Bon assez perrdu de temps. tu vas rejoindrre l'ambassade de Frrance d'où parrtent nos ennemis. Tu vas metrre à prrofit ton jeune âge pourr rrejoindrre l'école de sorrcellerrie de BeauxBâtons. Je veux savoirr tout ce qu'il s'y passe. Qui sont les réfugiés, qui dirrige...

*Effectivement l'idée d'une malédiction bien vicieuse l'avait effleuré et l'autre a bien fait de préciser, les gitans c'est comme les démons il faut bien tout préciser sinon ils exploitent leurs ordres à l'envers pour em********er le peuple.

Mais là tout de suite il voudrait quand même le tuer encore plus qu'avant.
Maudirait bien aussi la Faustina au passage, après tout la faute à qui s'il est dans ce merdier? Trois ans de plus et il aurait pu défier Litza et régler tous ses problèmes... Mais il n'a pas le choix. Se dit qu'il doit ressentir exactement la même chose que les démons lors de leurs invocations.*

-leurs projets, leurs incursions, ce qu'ils prennent au petit déjeuner et la façon dont ils veulent vous ejecter du pouvoir... je pense avoir saisit. Autre chose?

*Vérifies tout de meme que le grand affreux avec la tête qui fait peur n'a pas piétiné son violon. Non, le trésor de sa vie est intact (m'étonnes trésor un stradivarius...) tout comme sa haine.Non, en fait sa haine va croissant là.

met la main sur ses affaires sans quitter l'autre du regard. Se relève, sans flageolement et avec moins d'insolence.*

-Autre chose?

En fait j'hésite encorre à te laisser dans les grriffes de Grreyback... Il est un peu en rrogne ce soir!

Oui, je t'éparrgne les menus mais garrde un oeil sur Louise Callanderr ou Malefoy, sont légalistes ces gens là. Tu devrrais vite la repérrer et méfie-toi, tête d'ange mais arrbalète au poing. cependant ce n'est pas le prrincipal.

Je rrécapitule, histoirre que ce soit bien clairr.

*regarde Ani, se rappelle bien de ses conseils.*

Tu te fais passer pourr un rréfugié, tu deviens élève de cette école, tu t'intègrres, tu obserrves, tu ne tentes rrien sans orrdrre, tu me fais un rrapporrt au moins une fois parr semaine. Invente toi un tuteurr, une famille et modèrre ton humourr. Et tu oublies les malédictions, sinon je pense que je te couperrai moi même les mains, violoniste!

et j'oubliais que tu serras rrécompensé pourr tes loyaux serrvices.

Vois-tu autrre chose à ajouter, Anfauglirr?

* suit des yeux les deux hommes qui montent l'escalier...a reconnu celui qui lui a gentiment demander d'attendre chez elle *

Ils n'ont pas besoin de moi on dirait...tant pis pour eux...

* a repéré une petite araignée au pied du mur, tout près d'elle...lui lance discrètement un sort qui la transforme en mouchard ( on arrête pas le progrès...): l'araignée peut enregistrer toute les conversations...Lucie lance un imperium à la pauvre bête pour la forcer à suivre les deux types...attend le retour de la bêbette *


[hj: si l'araignée se fait écrasée ( ce qui risque d'être le cas), elle produira une petite pluie d'étincelle, révèlant la présence du sort...faut bien un inconvénient...^^]

*Suivait en souriant l'altercation. Détache lentement son regard de Farder pour se tourner vers Serguei. Réfléchit et semble sortir d'un rève plutot plaisant (toujours comme ça après une nuit de massacre).*

-Oh oui. Il y a dans ce chateau une femme nommée Lishena Lupin. Je veut TOUT savoir de ses agissements.

*Se rapproche de Farder, et attrappe le violon qui git près du jeune homme. Joue négligemment avec, et tapote le caisson de bois.*

*Se jette en avant pour intercepter l'objet. Trop tard.*

*Pas le violon pas le violon pas le violon*

*Anfauglir écarte tout aussi négligemment le violon du jeune homme et attrape brutalement la main qui se tendait pour le saisir.*

*Se débat un peu puis cesse en constatant qu'il ne fait que resserer l'éteau qui lui broie les doigts*

*Pas la main pas la main pas la main!*

-Et si tu tiens à pouvoir encore une fois aligner trois notes correctes sur un violon digne de ce nom, tu iras meme jusqu'à trouver le moyen de la faire sortir du chateau. Sinon je te retrouverais et briserais personnellement ce chef d-oeuvre. De toutes façons sans mains il ne te servirait pas à grand chose. Tu la fais sortir et tu me l'envoie c'est clair?

*Pas le violoooooon!*

*Grince des dents, et regarde le violon dans la pogne de l'autre là. N'a pas le choix mais alors pas du tout.*

-Tout ce que vous voulez...

*Lache la main du jeune homme qui prend une jolie teinte violacée (l'a serré fort), lance le violon sur le lit et recule. Ce faisant il ecrase une araignée qui produit une jolie étincelle magique. Plisse les yeux.*

-Si vous voulez m'excuser, je crois que nous avons un invité surprise. Deux de mes hommes prendront soin du gamin avant qu'il ne gagne l'ambassade si il lui prenait l'envie de prendre tout de meme la tangente.

*et quitte la pièce rapidement*

*Farder se masse la main et se tient relativement à l'écart de l'autre. Dans la catégorie coups foireux, il a donné ce soir merci bien. Regard furieux à Andrassi. Celui que lance un chat très en colère, ou un puma ou un lion ou autre chose enfin une très grosse bête très colère et très pas heureuse de s'être laissé piégé. Un regard qui annonce que la première erreur du dompteur se paiera très cherrrrrrr.*

-C'est bon je ferais tout ça. Votre grandeur. je vous enverrais la boule de plume mitée qui est perchée juste au dessus de vous pour faire mon "rapport". Cela vous convient-il?

*Regard daidégneux pour le corbeau.*

Trrès bien, mais n'oublie pas de rrester discrret. Crrois bien que si tu te fais prrendrre, tu ferrais bien de ne pas rrevenirr parr ici.

*Les deux "hommes" de Greyback entrent dans le chambre et saluent Andrassi.*

Je vous laisse ce jeune homme, accompagnez le au plus près possible de l'ambassade de France.

Bon voyage Farrderr, prrofite bien des enseignements de Beauxbâtons.

*Mouvement de cape, Sergueï quitte la pièce puis choisit de transplaner directement chez lui, greyback ayant déjà à coeur son boulot.

ambassade Andrassi

*Voit disparaitre l'abjection de bulgare, qu'un magyar à pointe lui rotisse les c....

Les jambes encore peu assurées, surtout après la peur de voir détruit son bien le plus cher, passe une main sur son front.*

*Quel merdier mais quel merdier....*

*Commence à rassembler ses maigres affaires, en fait prend tout le temps nécessaire pour faire semblant de rammasser ses affaires qui sont pourtant toutes au meme endroit (dans le sac) sans préter attention au deux sous-fifres plantés à l'entrée.*

*Quel merdier ...*

*Regarde sa main violette et endolorie à cause de l'autre affreux, qu'une chimère le réduise en miette... Impossible de jeter le moindre sort ou de toucher le violon avant deux jours avec ça... Une fille oui. Le violon autant l'oublier.*

*Ooooooh Draku. Quel...*

*Kaw profite de ce que le blond bulgare soit parti pour se poser près de son propriétaire.*

-Là tu t'es fait avoir en beauté gamin...

*Regard plus que menaçant de Farder. Il feuleplus qu'il ne répond.*

-Redit encore un mot et je te coupe les pattes c'est clair! ca ne t'empécheras pas de voler ça!

*l'oiseau rentre la tête dans les plumes, lance un regard courroucé et attend que le gitan soit prêt pour les suivre.*

*Finit par avoir fait le tour. En maugréant, il regarde les sous-fifres.*

-Bon on y va? Pas que ça à faire moi!

*et ils partent*

Ambassade de France