Entrée et salle commune

*Une simple feuille qui porte le titre du "Phénix Flamboyant" se dépose automatiquement sur le comptoir. Le même pamphlet atterri au meme moment dans tous les foyers sorciers abonnés à la Gazette. Mais ce pamphlet ne contient aucun moyen de l'identifier, ou sa provenance...*

Cassandra a écrit:

Le Phénix Flamboyant

Lorsque la vérité et le droit sont bafoués, lorsque la presse est muselée, lorsque la population est violentée, le bien se doit de renaitre de ses cendres et de flamboyer.
Il doit y avoir de l'espoir.
Il y aura de l'espoir si vous ne cédez pas.
Luttez contre les atremages, résistez leur!

car

J'écris dans un pays dévasté par la peste
Qui semble issu d'un cauchemar de Goya
Où les chiens n'ont d'espoir que dans la manne céleste
Et des squelettes blancs cultivent le soya

Un pays en tous sens parcouru d'escogriffes
A coup de fouet chassant le bétail devant eux
Un pays disputé par l'ongle et par la griffe
Sous le ciel sans pitié des jours calamiteux

Un pays pantelant sous le pied des fantoches
Labouré jusqu'au coeur par l'ornière des roues
Mis en coupe réglée au nom du roi Pétoche Dragoche
Un pays de frayeur en proie aux loups-garous

J'écris dans ce pays où l'on parque les humains
Dans l'ordure et la soif et le silence et la faim
Où la mère se voit arracher son fils comme
Si Hérode régnait quand Laval Andrassi est dauphin.

J'écris dans ce pays pour ce Ministère que le sang défigure
Qui n'est plus qu'un monceau de douleur et de plaies
Une halle à tous vents que la grèle inaugure
Une ruine où la mort s'exerce aux osselets

J'écris dans ce pays tandis que la police
A toute heure de la nuit entre dans les maisons
Que les inquisiteurs enfoncent leurs éclisses lancent leurs doloris
Dans les membres brisés guettent les trahisons

J'écrit dans ce pays qui souffre milles morts
Qui montre à tous les yeux ses blessures pourprées
Et la meute sur lui grouillante qui le mord
Et les valets sonnants dans leurs cors la curée

Voilà ce qu'est votre pays, voilà ce qu'est l'Angleterre désormais. Voilà ce qui me pousse à me lever contre les Atremages.

Faites de meme.

Cassandra.

*********
Bien sur ce poème n'est pas de moi mais d'Aragon, "Un pays dévasté par la Peste"....

rue

*s'installe dans un coin où il est assuré de pouvoir rester seul. ou bien faudrait que l'on vienne s'installer face à lui et faudrait pas avoir froid aux yeux.. ni avoir les tibias sensibles*

*commande un plat. puis deux.. et trois*

*dévore. a vraiment faim. *

*failli oublier qu'il fallait se nourrir*

*Attiré par ce gros mangeurs, s'approche de la table*

- Une faim de loup, dis moi

*S'installe en face de lui*

- Mais tu viens d'où pour manger autant ?

*Et pis où ils sont tes parents ?*

*sans cesser de manger, regarde l'autre par dessus son assiette*

Citation :

- Une faim de loup, dis moi

- t'as pas idée.

*parler en mangeant.. ça pas bonne idée*

*tousse*

*foudroie l'autre emépcheur de dévorer en rond*

Citation :

- Mais tu viens d'où pour manger autant ?

- de loin. à présent dégage ou je t'y envoie.

*et continue de manger*

*observe aussi le reste de la pièce.... faut rester calme.sinon pas pouvoir revenir*

*Se lève et pour s'intaller la table d'à côté, à une distance raisonnable des pieds mais à portée de regard*

*Se demande bien ce qu'il y a derrière ces lunettes*

*Intrigué par cet enfant qui a l'air d'être bien plus indépendant que ceux qu'il a vu*

*Pareil que pour son vieil ami-sans-nom ... sauf que le jeunôt, là, est encore plus jeune; à voir pour les capacités*

*Observe longuement*

*Plus tard, quand l'enfant s'en va, commande un dîner, mange et au lieu de rentrer à son autre hôtel temporaire, prend une chambre parce qu'il y a de fortes chances que le môme revienne par là et non aux enfants de la nuit*

*observe le fou... bien content qu'il lui fasse grâce de sa présence*

*finit de manger et reste là sans bouger un certain temps : pas bien de bouffer comme ça ! si on l'attaquait, serait pas en mesure de se défendre correctement*

*attend un bon moment : si il transplane de suite, c'est certain, il vomit tout à l'arrivée*

*finit par se lever, paie parcequ'il a l'intention de pouvoir revenir*

*sans se soucier de la politesse qui voudrait qu'il sorte avant de transplaner ( et pis quoi encore) se lève, se concentre et pffiout*

Pré au Lard

Ollivander

*sa liste dans la poche, s'en vient ici quérir un guide et "maître".*

*doit apprendre. S'ennuie là.*

*observe à la ronde si il voit l'autre givré de l'autre jour. pas qu'il l'imagine capable de faire quoi que ce soit pour l'aider mais bon, connait peut-être du monde.*

*Descend manger et, croisant le jeunôt qui, comme prévu est là, ne le lâche pas d'un oeil en commandant*

*repère le guignol que si à lui on luif aisait porter un chapeau pareil ça le tuerait sur place*

*hésite à aller parler à un gus pareil... ça craint quand même. Pas le choix*

*s'avance*

- j'ai besoin de renseignements.

*regarde l'assiette*

- si tu me les donnes, c'est moi qui paie. sinon, c'est toi qui trinques.

*et lui fait son plus beau sourire qui signifie qu'il a tout à gagner, et encore plus à perdre*

*Le regarde s'approcher, d'hbaitude c'est lui qui fait ça et qui en veut aux bonnes gens, mais là quoi qu'il lui veut ?*

chsais pas mais vais pas tarder à savoir a écrit:

- j'ai besoin de renseignements.

*C'est donc ça*

- Faut voir

chsais toujours pas mais ça devrait plus tarder a écrit:

si tu me les donnes, c'est moi qui paie. sinon, c'est toi qui trinques.

*Abandonne ses rêves de grandeur, ce n'est ap slui qui mène le jeune par le bout du nez mais l'inverse*

*Tanpis c'est déjà ça et pis qui saura ?*

- Faut voir. Ca dépend des renseignements.

*faut voir faut voir.. ça va être vite vu mon gars*

*chope le type par le col de sa cape, et le mène à une table où il l'assoit*

*se pose devant lui de façon a aussi voir la salle*

*sort sa baguette*

- je veux savoir qui serait susceptible de m'apprendre à me servir de ça. et quand je dis servir, je parle des sorts intéressants, tu vois...

*fixe le nabot*

- ou bien si il existe un livre qui puisse me servir et où le trouver

*sourire carnassier*

- je suis un peu étranger de ce monde.

*sans le lacher d'un oeil*

- et je veux aussi savoir où on peut trouver des dragons, des phénix, des licornes ou des vélanes.

*regard dédaigneux*

- et si c'est pas par toi que je l'apprends, ce sera par un autre.

*et toi tu seras plus en mesure d'apprendre quoi que ce soit à qui que ce soit*

le grognon comme c'est forcément héréditaire a écrit:

- je veux savoir qui serait susceptible de m'apprendre à me servir de ça. et quand je dis servir, je parle des sorts intéressants, tu vois...

- Je vois ...

*Vois même très bien. Mais c'est pas le genre de truc qu'on est sensé lui demander, mais le genre de truc que lui est sensé proposer avec un air de fou tentateur*

*Va relire son manuel, a du louper un chapitre, celui où il y a marqué ce qu'il doit faire quand il rencontre plus fou que lui (et accessoirement physiquement plus fort)*

le plus fou accessoirement physiquement plus fort a écrit:

- ou bien si il existe un livre qui puisse me servir et où le trouver

*Le regarde horrifié, un livre ? mais un livre ne lui apprendra pas les choses comme un vieux fou qui perd la boule, un livre ne parle pas des choses avec passions, un livre ne fait pas subir les exemples, un livre ... c'est un amas de feuilles qui peuvent servir pour les grans hivers ! Rien de mieux que la transmission de baguette à baguette*

le dingo a écrit:

- je suis un peu étranger de ce monde.

- Ca j'avais cru le comprendre

*Sinon tu aurais commencé par les Enfants de la Nuit, par par le Chaudron Baveur*

Citation :

- et je veux aussi savoir où on peut trouver des dragons, des phénix, des licornes ou des vélanes.

*Changement brusque d'expression sur le visage du schnock*

- C'est autre chose, ça. J'y gagne quoi ?

*A part le droit d'aller me traîner ailleurs quand j'en ai envie*

*observe le vieux : si vraiment il peut lui expliquer, ça suffira bien. il a pas besoin qu'on lui tienne la main*

*autre avantage notable : si ce givré est bien ce qu'il semble être, ne risquera pas de vouloir lui mettre le grapin dessus et jouer au plus malin, plus fort ou au jeu du "moi chef, toi pas chef". parceque ce jeu là, il l'aime pas*

*prend son temps*

- tu y gagnes que je partagerai avec toi l'argent retiré de la vente de mes amusements. Je me fiche d'être riche et tu auras donc la moitié de mes gains.

*toute façon, ce que j'ai pas je prends si besoin*

- je veux juste m'amuser. alors montre moi des jouets, et tu auras assez d'argent pour te payer un chapeau par jour comme celui là

*signe dédaigneux du menton vers le couvre chef qui est pas chef*

- et même ds pires, en cherchant bien.

*observe toujours la salle de temps en temps*

- pour l'instant, je reste encore ici. j'ai besoin de tout ça après la pleine lune. dans une semaine.

*se lève*

- réfléchis. je repasserai dans une semaine. sit 'es là tant mieux, sinon tant pis pour toi. je me débrouillerai sans

*mets l'argent nécessaire pour payer le repas sur la table*

*va pour sortir, a pas tout bien visiter la rue... surtout l'endroit qui bifruque là bas et d'où sortent des gnes louches*

*avant de partir, se penche vers le gars et lui murmure*

- par contre, si tu parles de tout ceci à qui que ce soit, c'est toi qui me le paieras, et de ta vie.

allée des embrumes

*Pas d'accord pour le chapeau, c'est son sien et en plus il lui a été offert quand il a passé son diplôme de vieux gâteux enrôleur de jeunes inconscients*

*Vu sa prestation du jour, le chapeau est à jeter d'ailleurs*

*N'est pas à sa vie près*

*Regarde le manège du jeune qui veut faire peur mais qui lui paie juste son repas comme prmis, c'est déjà ça*

*Et s'en va sa pitance avalée*

*Reviendra une semaine plus tard*

maisonnette Pré au lard

*transplane dans l'arrière cour, grimace : ses plaie ne sont pas toutes refermées et il n'a plus d'onguent ni le nécessaire pour en fabriquer,d evra aller s'en procurer*

*entre dans le bar et se pose dans un coin tranquile, commande de quoi déjeuner copieusement avec la vilaine impression qu'on le regarde bizarrement *

*observe voir si il voit le chapeau..*

*Tappi dans l'ombre de l'escalier, observe le môme qui revient le lendemain de la pleine lune sâlement amoché (façon de parler, a vu pire), à se demander ce qu'il a fait dehors, pas assez mordu et griffu pour être allé déranger un dragon qui dort ( )*

*Encore heureux, sinon à quoi je sers, moi ?*

*D'un autre côté, s'il est recherché par la police de nuit, ce n'est pas pour avoir cambriolé une patisserie*

*Sort de sa cachette et vient s'asseoir en face de lui*

- Tu me paies la même chose et je t'apprends un truc qui pourrait t'être utile, là et maintenant.

*Une fois ceci, fait, souri de toutes ses dents (dont la plupart de celles qui restent sont carriées) et pose la question qui le tarabuste depuis le début*

- T'as fait quoi pour être dans cet état et en prime recherché par la police de Greyback ?

*voit arriver le fou. finalement assez "soulag" : a envie de partir là, envie d'apprendre. et ce vieux grigou est le seul qu'il "connaisse".*

*Gnirl, son copain démon, est Merlin sait où.. et son père.. joker*

Citation :

- Tu me paies la même chose et je t'apprends un truc qui pourrait t'être utile, là et maintenant.

*se contente d'un signe de tête approbateur : l'a déjà dit ; lui le ponion, s'en fiche*

Citation :

- T'as fait quoi pour être dans cet état et en prime recherché par la police de Greyback ?

*en oublie de manger et le regarde *

- recherché par la police ? ................. sérieux..... ?

*regarde la salle, assez intensément pour être sûr de lui, mais pas non plus paniqué*

*bon alors.. que faire ? y aller ? ou pas.....*

- comment tu sais ça toi ?

- En règle générale, on se cache,on fuit et on tremble de peur - je te passe les détails - jusqu'au moment fatidique sauf si on a du bol.

*Et ça n'a pas l'air d'être ce que le jeunôt veut*

- S'y pointer n'est pas non plus la meilleure solution si tu as l'intention d'en sortir en vie.

*Tient à le dissuader, ne sait-on jamais, il paraît que ça torture bien*

- Alors ça dépend de ce que tu as fait. Si tu veux jouer à la provoc' et à qui est le plus fort, tu te planques mais pas trop et reste dans tes activités normales.

*Et moi je te donne les cours demandés*

- Par contre ici c'est pas l'endroit le plus discret.

*Comment je sais ça ?*

- Comment je sais ? Mais il suffit de voir les avis de recherche et les affiches, même si personne ne sait qui tu es, ils trouveront. Ou Greyback, Lui, trouvera.

Citation :

- En règle générale, on se cache,on fuit et on tremble de peur - je te passe les détails - jusqu'au moment fatidique sauf si on a du bol.

*j'ai une tête à faire ça moi ?*

- en règle générale, j'ai pas mal de chance.

Citation :

S'y pointer n'est pas non plus la meilleure solution si tu as l'intention d'en sortir en vie.

*justement, envisageait ça... mais pas la possibilité quon veuille lui faire la peau*

*faudrait savoir hein ! si j'y vais il me fait comprendre clairement que je ne suis pas le bienvenue, et quand j'y suis pas, on me cherche...*

*regarde Vollur... hésite : si son père lance un avis de rehcerche, ça équivault ) un ordre de venir, non ?*

Citation :

- Alors ça dépend de ce que tu as fait. Si tu veux jouer à la provoc' et à qui est le plus fort, tu te planques mais pas trop et reste dans tes activités normales.

*léger rire*

- je joue pas à la provoc

*pas avec lui en tout cas*

- et encore moins à qui est le plus fort

*bis*

- je suis pas stupide à ce point.

*réfléchit : se planquer.. bon toute façon il prévoyait pas de rester en angeleterre les prochains mois ; se doute bien que les dragons ne sont pas dans des contrées si peuplées.*

Citation :

Par contre ici c'est pas l'endroit le plus discret.

*n'en doute pas, mais finit de manger en silence, regardant toujours Vollum, pensif*

- bon... de toute façon, je voulais partir. Loin. Mais peut-être que je vais aller là bas avant.

*hésite*

- tu accepterais de venir alors ? m'apprendre ce que j'ai besoin de savoir, et me montrer les dragons ? ou bien je dois partir seul ?

*Commence à manger*

- Faut voir

*Même si c'est tout vu*

- Tu vas où ?

Citation :

- Faut voir

*sourit, amusé*

- c'est ton expression fétiche ça.

Citation :

- Tu vas où ?

- et bien si tu m'accompagnes, là où tu me diras, sinon, là où le premier livre sur les dragons que je trouverai me l'indiquera.

- Pas besoin de voyager seul

*Finit de manger*

- Alors, d'abord tu apprends, et après tu mets en pratique.

*Donc on bouge dès que tu sais*

*Vide son verre*

- Quand tu veux

Pas gentils loups de Greyback

*ont passé une nuit d'enfer, et n'ont quu'ne hate : recommencer ce soir !*

*cherche donc à passer le temps quand ô surprise aperçoivent un gosse qui semble vraiment correspondre à la description donnée par le chef*

*n'ont pas eu vent de ce pourquoi il était accusé, et approche donc de la demi portion*

- pas de panique gamin. on ne te veut aucun mal

*rires froids et regard aux collègues*

- Greyback demande à te voir.

*regard haineux*

- et si tu tiens à ne pas trop souffrir avant de mourir, tu serais bien avisé de nous suivre.

*voit arriver les trois.. faut dire, avec des têtes de benets pareil*

*les laisse rignocher stupidement et se fige légèrement quand : *

Citation :

Greyback demande à te voir.

*bref regard à Vollum. non. là il ne peut pas faire autrement*

*se lève donc sans un mot pour les autres tarlouzes*

*à Volum*

- je serai de retour avant la nuit, quoi qu'il arrive. et si ce n'est pas le cas.. et bien ne m'attend plus

*sort de derrière la table et après un regard noir aux autres*

- inutile de me conduire, je connais le chemin.

*au premier qui fait mine d'approcher*

- et le premier qui me touche passera le quart d'heure prochain à ramasser ses dents entre les lames pourri de ce parquer.

*et sort. pas rassuré quand même parceque bon. sont trois. et grands. et gros...*

*mais plutot crever que de faire kaï*

*toute façon a plus à se soucier que les trois grand gros là... y'a le grand pas gros de l'autre côté de la rue.. peur*

police de nuit

*Reste là (comme demandé) en se demandant si c'en est pas fini de sa carrière de mentor fou*