Alentours d'Orléans

Ministère

*Repasse le souterrain en sens inverse et alors que tout le monde s'est relevé, une vingtaine de gobelins attaquent par surprise de tous les côtés.*

*Les gobelins sautent de leurs cachettes derrière les pierres, prennet par surprise la troupe d'aurors et se ruent les humains.*

-"Balmariack"

*Arrive aux niveau des aurors en ayant que 10 gobelins de tués et éventrent 3 humains.*

*Surpris par l'attaque, lance des sorts de protections partout, trois aurors tombent.*

*Mouai, pas si mal....*

*Les 10 derniers gobelins de l'embuscade sont exterminés.*

-"Il doit en rester une vingtaine dan la dernière cache, ça sera extrémement facile."

*Remonté par leurs pertes, les aurors se ruent sur la dernière cache et font un massacre en un temps record.
Serpentis stupéfixe un gobelin chef de brigade pour le ramener au ministère mais un auror dans sa rage le transperce.*

-"Imbécile, il faut en garder un vivant.!"

*Malheureusement, quand il dit cela tout est fini.*

-"Vous pouvez rentrez au ministère, je vais faire mon rapport."

Ministère

*Non loin d'Orléans, dans une forêt domaniale, se trouve un parcours santé fort agréable, les français sont friands de ces endroits où le corps se cultive.
Adonis dans un habit moldu très chaud mais seyant
s'essaie à un parcours d'escalade non sans mal, on fait moins le malin sans magie...*

*Miranda tient son bébé fort contre elle. Elle ne sait où aller, elle erre depuis si longtemps.*

*Elle a entendu dire qu'en France les loups-garou étaient bien accueilli, les autres réfugiés aussi, pourquoi pas elle ? Elle a déniché une petite maisonnette moldue pas loin et s'y est installée avec le peu de ses possessions, volant la plus part du temps pour manger et nourir sa petite Gin. La nuit est plus effrayante encore que le jour, elles peuvent se faire attaquer tellement souvent et Mira n'a aucun moyen de défense. Ses yeux cernés trahissent ses nombreuses nuits blanches, son visage creusé l'inquiétude quotidienne à laquelle elle fait face.*

*Se demandant comment aborder un sorcier ou un cracmol, une personne qui ne veuille de mal ni à sa chérie ni à elle-même, et ne pas faire de gaffe en accostant un moldu, Miranda glisse le long d'une falaise plutôt abrupte et se raccroche d'une main, tenant Gin de l'autre, tandis qu'un léger éboulement se déroule sous ses pieds. Elle a la gorge trop sèche pour crier, et les yeux trop secs pour pleurer et ne peut que s'accrocher du mieux qu'elle peut en tentant de ramener sa petite fille sur la terre ferme*

*Aie ouille

Sent des scories lui tomber sur la tête, lève le nez, le rebaisse très vite, entaillé méchament, a juste eu le temps d'apercevoir une jupe.
Dans un réflexe stupide de mâle, lève le poing en insultant l'auteur de l'ébouli*

Pouvez pas faire attention ? *$ù$*!^!*^*é&é*^&*

*le geste étant de trop glisse et se retrouve sur les fesses au pied de l'obstacle.
A tout le temps de regarder la jupe et sa propriétaire qui ne l'a visiblement pas fait exprès.
Sort sa baguette*

Mobilicorpus ! Arresto momentum !

*Narcisse se dit que, décidément, il a une jolie voix
Les personnes en danger car a constaté qu'ellles sont deux sont instantanément immobilisées suspendues dans les airs, s'arrange pour les faire "aterrir" délicatement à côté de lui*

*Se masse les fesses, assez étonné de la situation*

*Réflexe de survie, Miranda recule instinctivement en arrivant au sol, en serrant sa petite fille encore plus contre elle, bébé qui se maintient de toute ses forces à sa maman en tremblant de peur. Mira fuit surtout le regard de son sauveur, qui sait ce qu'il pourrait demander en échange ? L'humilité est bien ce qu'il y a de mieux à montrer*

*Range sa baguette, d'une voix posée qui se veut rassurante, n'ont pas l'air rassurées les pauvrettes*

Par Merlin ! vous auriez pu vous tuer ! vous devez être nées sous une bonne étoile car j'ai peu l'occasion de m'essayer aux loisirs moldus !

*Constate l'état miséreux de leurs tenues et leur aspect famélique*

Venez !
Pour nous remettre de nos émotions et redonner un semblant de vie à mon fessier je vous invite à manger, j'ai grand appétit !
N'ayez pas peur c'est offert de bon coeur !

*Sourit*

*Voyant qu'elles ne sont pas dédaignées puis abandonnées ni totalement ignorées, Miranda n'a qu'une envie : la fuite*

*Il a l'air de vouloir leur proposer quelque chose mais elle ne comprend pas un traite mot de ses paroles, ce n'est pas sa langue*

*Et si c'était ça l'hospitalité française ?*

*Elle a une dette envers cet homme et n'a plus rien à perdre que Gin qu'elle rassure d'un regard*

*Elle garde les yeux baissés sur son enfant et s'apprête à suivre l'homme où il voudra les mener, sans ouvrir la bouche une seule fois*

*Elle n'est vraiment pas certaine de faire le bon choix*

*Sourit et encourageant, fait signe de le suivre, ont l'air terriblement pâles, doivent avoir faim en ce début d'hiver qui s'annonce rude*

quelques centaines de mètres plus loin
Chalet gourmand