les trois balais

"Un haut-lieu pour boire de la Bièraubeurre, bien qu'on y serve aussi du jus d'œillet, du rhum groseille, du sirop de cerise soda avec une boule de glace et une ombrelle.
Le pub est meublé entre autres de tables et de bancs et il y a un miroir au-dessus du bar." (http://www.encyclopedie-hp.org)

rue

*entre en compagnie de Wil ; l'endroit est loin d'être surpeuplé mais le pub reçoit toujours d'assez nombreux clients malgré les temps que certains disent maussades...*

*s'installe et commande deux bièreuabeurre, observant autour de lui, pas nostalgique, mais presque...*

rue

*s'installe à son tour, déguste sa boisson en prenant des nouvelles de son grand-père et de son père, qui reste toujours aussi mystérieux*

*capte pourtant bien les sourires et regards qui en disent long*

*sait que son père ne dira rien, surtout au milieu d'un pub, mais sent que quelque chose se trame..*

*après deux heures auprès de son fils, retourne à son manoir*

- a très bientôt, j'espère.

*sourire plein de mystérieuses promesses*

manoir nott

*a à la fois peur et hate, ne sait pas du tout ce que sous entend son père mais...*

*rentre à Poudlard*

poudlard

Manoir Nott

*via cheminette, arrive dans le bar, bondé*

*avance sans se soucier de Flora : de toute façon, si elle ne suit pas, ça va *

*arrivé à la porte, se détourne quand même... et elle suit.*

Grand place

Manoir Nott

*suit Téhodore sans dire un mot, plus pale que jamais*

*n'ose même pas relever le nez tellement elle a honte*

*s'imagine que les esclaves devaient à peu de choses près ressentir ce qu'elle ressent... et qu'elle en est une... à peu de choses près...?*

Grand Place

cedar mansion

*Pénètre dans le pub pas franchement rempli... Enfin pas folle, en cours de route, elle a changé légèrement ses traits à l'aide d'un sort d'illusion, au cas où en ancien voisin physionomiste et rancunier se trouverait dans le coin.

S'avance vers le bar, derrière lequel se trouve toujours Madame Rosmerta. Soulagée, parce que Rosmerta sera toujours du coté de Dumbledore, Guen se colle près du bar. Et puis Rosmerta se souviendra des conneries qu'elle a faite dans ce bar et saura leur donner des infos.*

-Rhum cannelle. Et pour l'idolâtre?

*Sourit*

cedar mansion

*salue à la ronde : la meilleure façon de ne pas se faire remarquer, c'est encore de faire le plus de bruit possible*

*s'installe avec toute la grâce dont il est capable au bar...*

Citation :

Et pour l'idolâtre?

*rien à crier, dévore Rosmerta du regard*

- madame... une margarita.. deux.

*pour guen, dès que la charmante serveuse est partie*

- y'aurait pas moyen de la glisser dans la malle aussi ?

*fait le tour de la salle du regard et sourit largement à un sorcier qui les observe, ce qui a pour but de le faire plonger dans son verre*

*Hausse un sourcil*

-Non. C'est ça ou le cadre.

*Et JE n'abandonne pas une photo de Sirius*

-Et la serveuse c'est la patronne, et la patronne est du coté des gentils et sait ce qu'il se passe dans le coin. Alors pas touche. Ou alors rapide mais elle reste là.

*Rosmerta revient avec les verres et les dépose devant eux*

-Merci Rosmy. Les murs ont repris leur couleur originelle je vois?

*Rosmerta avait fait demi tour mais... pour sortir un nom aussi ridicule et parler des murs...*

-Guen? la Fairfield? Tu es malade de revenir! La "Police de Nuit" patrouille sans arrêt, ils contrôlent tous les papiers depuis l'incident de cette nuit!

Citation :

-Non. C'est ça ou le cadre.

- oublie la serveuse.

Citation :

Alors pas touche.

- oh hé ! ça va oui !

Citation :

Ou alors rapide mais elle reste là.

*regard indigné*

- mais enfin ! je ne suis pas un rustre !

*voit Rosmerta revenir*

- bon.. rapide comment ?

*prend ses margarita et en boit une*

Citation :

Guen? la Fairfield? Tu es malade de revenir! La "Police de Nuit" patrouille sans arrêt, ils contrôlent tous les papiers depuis l'incident de cette nuit!

*pas que de nuit j'espère ? oh ce serait cool si on pouvait en croiser un ou deux...*

*sourire rêveur*

*Sous demande expresse de Guen qui n'oublie pas pour autant son verre, Rosmerta explique a mi voix dans le détail ce qui s'est passé le jour de l'exécution et la nuit précédente. Elle a pu voir les marionnettes quelques secondes en sortant ses poubelles...*

-Je suis sure que c'est la femme du pamphlet qui a fait ça... J'ai essayé de diffuser la nouvelle mais quasiment personne n'ose mettre un pied dehors et ceux qui le font ne sont pas "sûrs". Alberforth a disparu. Et depuis l'exécution même ceux qui pourraient être de notre coté ne disent plus un mot de travers... Les hommes de la police de nuit ont molesté tous ceux qui trainaient, même les enfants, il y en a un qui est mort de ses blessures hier...

*Soupir rageur*

-Alors je ne sais pas quand compte intervenir l'Interpolice mais moi je voudrais en faire un peu plus...

*Tout à fait sérieuse, Guen n'en a pas perdu une miette. Mais elle reste très cynique aussi*

-L'Interpolice? Ils n'ont pas le droit d'intervenir dans un pays sans demande expresse du responsable de la police ou de l'état. Autant dire que vous ne les verrez pas Rosmy. Et de toutes façons tout ce qu'ils feraient c'est menacer fermement les Atremages de sanctions. Sont pas mauvais mais ont pas de c°°°°°°°.

*Regarde Rosmerta qui a l'air sérieuse*

-Et n'allez pas vous foutre dans une situation intenable! On fera ce qu'on peut de notre coté mais si vous vous faites tous massacrer avant...

*Cela lui fait mal au coeur rien que d'y penser. Quoi qu'ils fassent, les réfugiés ne sont pas assez nombreux, pas assez équipés et le temps qu'ils puissent faire quelque chose de salutaire l'Angleterre pourrait bien être à feu et à sang...*

-... On ne sera pas plus avancés.

*Reprend sombrement une gorgée, et se demande, si vraiment, honnêtement, et réellement, elle a cru une seule seconde être capable de raccrocher, d'arrêter la chasse aux mages noirs et l'aurorat. Y croit de moins en moins. Et ça fait mal aussi.

Sur ces entrefaites, deux hommes pas aimables entrent et appellent à hauts cris madame Rosmerta. Des hommes avec un uniforme gris qui pue la police à deux cent lieues.

Guen continue à vider son verre l'air de rien et l'oreille tendue. C'est ainsi qu'elle entend...*

-... Malade... Parti chercher des bouquins d'une collection privée... autre chose à faire... Cedar...
-Ta gueule! Si Greyback entend ça tu es mort!

*Blanche comme un cadavre, pose son verre, dépose de la monnaie sur le comptoir. Glisse à Pierre.*

-On se barre. On ne court qu'une fois hors de vue.

*Et on prie que ma connerie n'ait pas encore fait un mort*

*sirote sa margarita en écoutant la conversation*

*à l'entrée de deux autres, ne bouge pas d'un poil et finit tranquilement son verre*

*entend fort bien nommer Greyback, se lève*

Citation :

-Il faut qu'on y aille. On ne court qu'une fois hors de vue.

- ouais m'man.

*sort, les mains dans les poches encore*

*si il approche la malle, il est raide*

*regarde vers Guen qui est vraiment pale et lui sourit*

*ça va aller. faudra que ça aille*

*la porte à peine refermée, observe la rue, vide.. faut croire que l'arrivée des deux pue la mort a fait rentrer tout le monde au bercail*

*et détale vers la malle, baguette à la main*

O cédar.. ou un truc du genre

*Prend meme le luxe de saluer la patronne. Parce que si les deux autres garous soupçonnent un truc et rappliquent ils ne s'en sortiront pas.

Suit Pierre et le voit partir en cavalant, fait trois mètres dehors, et transplane hors de vue. NE peut pas suivre le rythme de la course de Pierre elle...*


Cedar Mansion

Cedar Mansion


*Rentre dans le pub en faisant claquer les portes contre les murs sans se soucier d'en avoir cassé quelques carreaux.
Traverse la pièce sans non plus se soucier du regard des clients terrorisé autant par sa présence que par son regard furieux et l'état de ses vétements.

Se dirige vers le bar, aperçoit les deux homme qui l'accompagnaient. En attrape un par le col de sa main valide, la gauche, et l'envoie voler à travers le pub. S'installe à sa place en grimaçant à cause de son épaule.

Regarde aux alentours. Dix personnes dans le pub. Bien. Elles ne vont pas tarder à regretter d'etre là de toutes façons.

Acciote une bouteille de whisky et en avale une longue gorgée. Puis, à ses hommes.*

-Bloquez les issues. Toutes les issues.

*Reprend une gorgée, avant de s'adresser aux clients et à la patronne alors que les deux autres s'exécutent prestemment, pas fous*

-Bien, puisque nous ne serons pas dérangés, je vous demanderais une collaboration rapide et efficace. D'une part, qui a mis en place les mannequins sur la Grand Place?

*Question de principe. Mais il a besoin d'un exemple*

-Et avez vous vu ces personnes aujourd'hui?

*fait apparaitre l'image de Pierre et Guen puis attend une manifestation quelconque de pleutrerie ou de courage imbécile pour faire passer l'heure précédente.*

*voit entrer Greyback et se dit que là, ça va craindre*

*ne dit mot, même si elle brule d'encourager chacun à la fuite*

*aux questions du lycan, considère que de toute façon, dire ce qu'elle sait ne mettra personne en danger.. et vu l'état et l'humeur de l'Autre, ces deux au sujet desquels il interroge doivent être loin*

- Vos patrouilles de nuit exercent une telle pression sur ceux qui commettraient l'erreur de sortir après le couvre feu que j'imagine mal quiconque vadrouiller la nuit...

*et si eux qui sont censés surveiller n'ont rien vue... pourquoi nous on devrait*

- Cependant j'ai vu ces marionnettes durant les quelques secondes utiles aux travaux ménagers extérieurs. Mais personne ne se trouvait à proximité. Et je ne suis pas allée voir de plus près.

*malgré l'envie d'aller applaudir*

- quand aux deux personnes que vous cherchez, elles étaient là il y a quelques minutes. Vos hommes les ont croisé et vu sortir. Peut-être savent-ils par où ils sont partis, parceque les gens qui sont là n'ont pas bougé de leurs sièges.

*reste zen et parle d'un ton calme, même si elle n'en mène pas large ; le fait est qu'elle sait que quoi qu'elle ou les autres disent ou fassent, si cet enfo°ré a décidé de tout massacrer, il le fera.*

*Fixe son regard sur l'impudente qui a l'air d'avoir décidé de lui gacher encore plus sa journée.
Reprend une gorgée de whisky.

Sans quitter la patronne des yeux...*

-Wolfram! Vous les avez vu?


*Le dit Wolfram pince les lèvres et se dit que si on lui donnait le choix il sait bien comment finira l'aubergiste.... Finit par répondre, en craignant la réaction de Greyback*

-Oui. Ils sont partis tranquillement peu de temps après notre arrivée.

*Coup d'oeil peu aimable à l'aubergiste. Tant qu'à jouer à se mettre dans la m....*

-Et ils ont eu une longue conversation avec la patronne.

*Sourire glacial de Greyback*

-On en apprend tous les jours...

*Pose la bouteille et prend sa baguette à la place. Jette un doloris au hasard sur un vieil homme près de la porte. Attends qu'il ait fini de crier pour poursuivre.*

-Alors reprenons calmement. De quoi avez vous parlé exactement?

*perd un peu de son bon sens : son impuissance qui la taraude depuis des jours et la conviction que l'Autre est totalement félé donnant un curieux mélange de défaitisme et de résignation*

*sursaute au sort lancé à l'homme et devient blème*

*espèce de monstre !*

*juge que le vieillard, qu'elle connait bien, sera mort d'ici cinq minutes à ce rythme, quoi qu'elle fasse ou dise, d'ailleurs*

- à quoi bon vous répondre n'est-ce pas ? jusqu'ici j'ai répondu, et vos manières n'en restent pas moins brutales.

*regarde vers l'homme de Greyback puis de nouveau ce dernier*

- vous agissez comme si je vous cachais cette information. vous n'avez pas demandez, à mon souvenir, quel avait été le sujet de notre conversation. J'ai répondu sitrctement à la question posée. Et continuerait à le faire pour peu que vous cessiez de mettre tout en oeuvre pour faire fuir ma clientèle.

*en tremble presque de colère : n'a rien à dire de compromettant pourtant, mais refuse de subir encore cette dictature déraisonnée*

- Voyez vous je suis persuadée que nous mourrons tous quoi que je dise, alors je suis navrée pour tous ces gens, mais au moins je ne vous ferais pas en prime le plaisir de crever en vous donnant ce que vous voulez pour rien.

*sourire désabusé*

- ce qui est d'autant plus regrettable qu'il n'y a rien dans ce que je sais qui puisse valoir la mort.

*mort qu'elle attend*

- laissez partir ces gens ou bien défoulez vous à votre aise, mais épargnez-nous au moins les faux semblants.

*Sourire toujours glacial mais crispé autant par la réaction de l'autre là, que par sa blessure qui le taraude*

-Mais il n'y a aucun faux semblants très chère puisque vous avez tout de suite compris comment les choses fonctionnent. Et vous devriez commencer à vous rendre compte que ce n'est pas mourir qui peut poser un problème. Mais la façon de le faire.

*Désigne d'un geste vague les clients pétrifiés.*

-Ou le fait de survivre à certaines choses...

*Fixe la Rosmerta*

-Alors cessez de jouer à la plus maline. Qu'avez vous dit à cette femme, que veut-elle, que savez vous? A moins qu'il ne faille vous RE-jeter un impero?

*ton sifflant, bas, et couvert de toute façon par les hurlements du vieillard.. hurlements qui faiblissen d'ailleurs...*

- je ne joue pas à la maline, Greyback. je sais de quoi vous êtes capable. je vous ai vu poser votre petit c°l sur les tabourets de cette auberge alors que vous n'étiez pas encore assez haut pour voir sur le comptoir !

*colère très très*

- Farifiled cherche à savoir la même chose que vous, et vous le savez bien. Si une résistance s'opère en angleterre et qui a mis ces marionnetttes... sauf qu'elle envisage de les aider plutot que de les emprisonner, mais vous le savez aussi. Le type avec elle, je sais pas qui c'est. jamais vu ici.

*observe le vieux*

- arrêtez ça, laissez le tranquile !

-Vous voyez quand vous voulez...

*Le vieux s'écroule pantelant*

-...mais j'aurais pensé que vous tiendriez plus longtemps.

*Se lève. Récupère sa baguette*

-Avada Kedavra!

*Achève le vieux*

-Ca c'est pour vouloir gagner du temps.

*Lance un sort dissendio sur une jeune femme qui est lacérée et s'écroule en perdant du sang par litres*

-Ca c'est pour m'en avoir fait perdre.

*Tue une troisième personne, toujours au hasard*

-Et cela... pour travailler votre conscience. Ces gens sont morts à cause de vous que cela soit clair.

*Se tourne vers l'assistance pétrifiée*

-Une prime est placée sur la tête de Cassandre et sur la femme qui se trouvait ici ce soir. Cinq mille gallions pour qui donnera des informations valables. La mort des proches de ceux qui retiennent des informations au nez et à la barbe de la Police de Nuit.

*Se dirige vers la sortie*

-Wolfram, arrêtez Madame Rosmerta pour traitrise.

*éclate d'un rire sans joie*

- oui voila, arrêtez moi pour traitrise, puisque j'ai bien répondu aux questions. tu n'es qu'un lache, Greyback.

*tremble de rage*

- et non ces gens ne sont pas morts à cause de moi car Merlin m'en est témoin j'ai fait et dit ce que tu as demandé.

*regarde sa main brulée et sourit à la manière d'une folle*

- tu n'es qu'un psychopate doublé d'un lache qui s'en prend à ceux qui sont incapables de se défendre.. les vieillards, des femmes, des aubergistes... parceque tu n'es pas capable de battre Fairfield et qu'elle te file chaque fois entre les pattes.

*regarde les autres**

- aimable clientèle, je suis navrée, mais vous allez mourir. ou peut-être pire.

*tant pis, fallait vous bougez avant*

*et à nouveau à Greyback*

- voila. au moins cette fois c'est vrai, les prochains souffriront par ma faute. Et tu crois vraiment qu'après de si beeeeelles démonstrations les gens vont se ousculer pour te donner des infos ? même avec une prime au bout ? on voit comment tu traites ceux qui répondent à tes questions. ça encourage ! y'a pas à dire !

*lorgne les deux autres*

- et si tes efficaces subordonnés ne sont pas fichus de mettre la main sur le marionnettiste alors qu'ils patrouillent en grand nombre toute la nuit, comment pourrions-nous avoir des infos ?

*sourire froid*

- la vérité, c'est que le premier qui viendra donner la moindre information sera tué soit pour traitrise, soit pour non respect du couvre feu, soit parceque tu seras de mauvais poil

*sans jeu de mots*

- ou peut-être les trois...

*et temps qu'à mourir*

- et tu me dois 4 gallions pour le wisky.

*Se retourne et grince d'une voix sourde en se rapprochant à nouveau du comptoir*

-Traitrise pour avoir donné des informations à une membre d'une organisation déclarée illégale sur le territoire anglais alors que votre devoir ou votre intérêt aurait été de la dénoncer immédiatemment. Et également pour obstruction à la Police de Nuit. Sans compter acte flagrant de rébellion contre l'autorité des représentants de l'Ater Secundus.

*Attrape l'aubergiste par le cou*

-Et les personnes ici ne viendront plus dire le contraire. Tu aurais du savoir quand te taire et quand parler.

*Jette un coup d'oeil dehors. Le ciel se teinte de rouge sang*

-Et tu n'aurais surtout pas du nous retenir jusqu'au coucher du soleil. Justes ou pas, nous avons maintenant tous les droits.

*La jette violemment au sol. Grimace. Son épaule le lance vraiment, il ne pourra pas rester aussi longtemps que prévu.
Mais suffisamment en tous cas.

Frappe Rosmerta au visage. Le temps qu'elle se remette, il lance un sort d'oubliette et de confusion sur les survivants qui, une fois sortis, seront prèts à jurer que la Police était dans son droit, et que l'aubergiste non.*

-Laissez les partir. Et laissez nous.

*Puis se penche vers Rosmerta.*

...../....

*Lorsqu'il part une heure plus tard, il s'est assuré qu'elle ne l'oublie pas. Et pour qu'elle ne parle pas. Il a placé cette soirée sous secret. Elle pourrait en parler en parler en parler, personne n'y préterait attention.
Mais elle gardera longtemps les traces.
Il jette quatre gallions sur le sol à coté d'elle en lui glissant que les tarifs sont plus attrayants qu'ailleurs...

Sourit aigrement en transplanant. Avec ses livres.*

Police de Nuit.

*recule lorsque l'autre approche*

*d'une vois rapide, sait qu'elle n'aura pas le temps d'en dire beaucoup*

- je n'ai donné aucune informations ! à mon grand regret !

*va s'écrouler au sol, le visage baigné de sang*

*gargouille plus qu'elle ne parle*

- cause et cogne temps que tu veux Greyback. tu n'es qu'un lache.

*n'en dit pas plus, pas en mesure...*

../...

*se réveille au matin, souffrant le martryr et pleure longuement face à son miroir qui lui renvoie une image ravagée, défigurée à vie*

*serre les poings, les dents, et tout ce qu'elle peut serrer*

*décide enfin qu'il est temps, que ce n'est surement pas avec cette tronche que la clientèle reviendra, bien au contraire*

*en plus elle ne pourra même plus les saluer puisque ce sauvage lui a arraché la langue*

*fait donc sa valise un minimum*

*casse toutes les bouteilles d'alccol qu'elle trouve, prend tout l'argent disponible*

*sort de son bar, lance un incendio et le regarde bruler un instant avant de transplaner vers l'hopital*

sainte mangouste

*Un message au couleurs vives s'accroche de lui même a une des poutres calcinées des trois balais.*

Remus Lupin, Ministre Anglais a écrit:

A Madame Rosmerta.
Aux innocents qui ont périt ici.
A tous ceux qui luttent.
A tous ceux qui espèrent.
Et aux autres.

N'oubliez pas. Ils ne sont pas l'Angleterre que nous connaissons. Ils n'ont pas leur place ici.

Fiat Magice.

*Lorsque l'affiche s'accroche, une flamme rouge sombre s'élève au dessus des trois balais et forme au ciel la silhouette d'un phénix renaissant de ses cendres (genre marque des ténèbres mais pour les gentils...)*