Campagne anglaise

Coins perdus de la campagne anglaise....





*Parce que c'est la pleine lune et qu'on leur violemment intimés l'ordre de rester discrets quelques loup-garous recrutés par Greyback ont préféré passer leur soirée à la campagne, dans des coins pas mal reculés où l'on peut à loisir éventrer, éviscérer, bref travailler les sciences nats...*

*Les loups rodent non loin de là et attendent, ils ont pisté les loups garous depuis un petit moment. ça faisait longtemps, les chasseurs sont à leur tour pris en chasse.*



*Louise et Louve apparaissent dans un plop. Louve pousse Louise dans un coin et s'accroupie, les arbalètes sortent dans léger bruit.

arbalète!

Qu'est ce qu'on fait maman?

*Vérifie que l'arbalète de sa fille fonctionne.*

Alors ma chérie, déjà il faut toujours être sous le vent par rapport aux proies, sinon tu es trop repérable. Ensuite, il faut être très silencieuse. Les loups n'ont pas besoin que tu leur parles. Enfin il faut vérifier les attentions du loup-garou, là je pense qu'il n'y a aucun doute, mais parfois un loup peut avoir juste oublié de prendre sa potion.

Enfin avec le couvre-feu, ceux là sont forcément des hors la loi!

Attendons un peu et observe bien.

*N'ont complêtement aucune cure de ce qui peut se passer à coté. ils sont bien trop occupés à se bafrer de mouton*

miommiommuiom....

*Louve et Louise se déplacent pour mieux voir ce que font les loups-garous.*

*Du mouton? Bah elle est belle l'armée de Greyback!*

Vraisemblablement, ils sont quatre, et dire qu'on va encore accuser les loups de ce carnage.

*Louve sort sa baguette et bloque les portes et fenêtres de la ferme. Puis d'un signe lance les loups qui dévalent la pente en courant et hurlant.*

Viens on va se mettre sur le grand chêne, le premier qui passe à portée, tu le vises. Tes flêches ne sont pas empoisonnées. le tout c'est qu'ils aient peur!

*Et, alors qu'ils sont en plein festin, les portes se ferment d'un coup et des loups se mettent à hurler... Dans leur esprit saturé d'endorphines réussit à percer un message*

*problèèèèèèèèèèèèèèèèème*

*se disent que s'ils meurent le ventre plein ils seront toujours moins capables d'obéir à Greyback et ça, ils ne veulent pas... Laissent tout en plan donc, et courent à l'extérieur*

*Louise suit sa mère et bien callée, vise la première forme qui sort, droit dans la cuisse.*

*et de un! je vais essayer un peu plus haut.*

*Le deuxième sort et Louise vise l'épaule cette fois.*

*Louve pose la main sur l'épaule de sa fille, hôche la tête et vise à son tour le troisième loup-garou, en plein dans le ventre, le poison est foudroyant.*

*Et problème il y avait. Deux des loups-garous se font toucher et un troisième tombe raide mort. Couic. Bom.

les autres font quelques mètres.*

*on s'arraaaaache*

*et reviennent. Pas laisser de traces à dit le chef. Embarquent le corps et se carapatent la queue entre les jambes. Kaï*

Je crois que c'est bon Honey. On a fait ce que nous avions à faire!

FINITE INCANTATEM!

*débloque portes et fenêtres.*

On rentre prendre un chocolat à la maison. je pense que le message va passer.

*Transplane avec sa fille.*

Manoir Callander

quartier déshérité

*court à perdre haleine dans un désordre complet : s'amuse comme un gosse qu'il est*

*sent peu à peu le froid et l'humidité transpercer ses vêtements*

*se dirige donc vers un bâtiment. occupé. zut. surtout pour les occupants en fait.*

*essaie bien de leur expliquer qu'il veut juste passer la nuit, qu'il n'a même pas faim et que...*

*évite une poele à la volée... puis une chaise.. mais ça va bien, a autre chose à faire, comme dormir*

*réduit donc ces gens vraiment pas accueillants au silence, les jette dehors, n'a pas envie d'être réveillé par l'odeur.*

*visite les lieux et finit par opter pour le canapé : pas tenté de se mettre dans les draps de ces "gens"*

*dort, la goule ouverte et les bras en croix*

*comme chaque matin, approche de la fermette pour venir manger ce que la famille lui donne, des croutons de pains aux pelures de carotte*

*ne trouve rien, si ce n'est la famille allongée à même le sol dans le cmap et une porte ouverte*

*entre, renversant bien es objets sur son passage, et va jusqu'au salon*

*pose son museau humide et froid sur celui du nouvel habitant des lieux*

*agite les noreilles*

*entend vaguement du bruit, mais a tellement l'habitude du bruit et tellement l'habitude de ne pas s'en faire ; toute façon, qu'est-ce qui pourrait bien venir le réveiller et mettre sa vie en danger ?*

Citation :

*pose son museau humide et froid sur celui du nouvel habitant des lieux*

*ouvre les yeux et se trouve face à "la bête"*

Citation :

*agite les noreilles*

*pousse un hurlement de terreur et en un bond, saute sur un vaisselier de bonne taille*

*la respiration saccadée, regarde l'animal aussi terrorisé que lui ruer et renverser tout ce qui est renversable dans la pièce*

*les deux bêtes calmées finissent par se toiser l'une l'autre... l'une remuant encore les oreilles de temps en temps, l'autre sentant les dents lui pousser*

*finit par réaliser que ça, c'est pas bien dangereux comme animal... colère très très*



*n'ose pas encore descendre, on sait jamais : bien placé pour savoir que les pires démons se cachent parfois sous des formes qui semblent innocentes. ça c'est comme la poule qui en fait n'en est pas une et qui se transforme en terrrrrriiible monstre quand on approche : a entendu raconter ça par une troupe d'aventuriers miteux, un jour ( )*

*reste donc bien là où il est à regarder l'ane qui n'a pas l'air de vouloir partir*



*décide enfin qu'il va bien falloir finir par descendre et le fait avec prudence*

*prêt à égorger la bestiole, la laisse cependant approcher.......*

*après un bon quart d'heure d'observation méfiante, acquiert la certitude que non, c'est pas dangereux un.. un ? un quoi au fait ?*

*vérifie : oui, c'est bien "un"... mais n'a pas la moindre idée de ce qu'est cette bestiole. ça ressemble à un cheval.*

*déjeune avec son nouvel ami. le seul, accessoirement, et lui propose divers aliments*

*le tire pousse sort de la ferme et se met en tête de lui grimper dessus : on grimpe bien sur les chevaux !*

*se fait vider plus souvent qu'à son tour ; c'est bien plus pratique de grimper sur un toit ! au moins ça bouge pas !*

*finit quand même par y arriver, mais difficilement étant donné qu'il fait tout pour ne pas brutaliser l'ane*

*trouve dans la ferme des sac qu'il réussit à accrocher à l'ane et y enfouit des tas de choses, allant de la boisson aux livres*

*le laisse ensuite aller à sa guise, sourire niais scotché au visage : content !*

*flatte l'encolure de l'ane et lui caresse les oreilles : c'est tout doux*

*mais bon diable ça chlingue !*

*d'un coup de pied, et sans descendre de sa monture, fait voler la barrière de bois en éclat et encourage comme il peut l'ane à filer. droit devant. loin de la ville*

*bouquine, à dos d'ane, et croise quelques paysans qui acceptent de lui dire que ce qu'il monte est un ane. même pas besoin de les cogner ceux là.. moins stupides que les autres tiens*

*continue sa route.. enfin ne sait pas où il va, mais y va*

*passe quelques jours à se promener ainsi et finit par apprendre.. un peu.. laisse son "ami" dans une fermette et retourne à la maison*

Sologne

quartiers déshérité/ londres

*transplane, pas content, et mordu en prime ! et griffé ! *

*compte : une transf pour les copains en visitant Paris, une pour l'autre naze la dernière fois, une pour le mal luné perpétuel ce soir.. lui en reste deux. et en garde toujours une de réserve, pour le cas où*

*réfléchit : si il se transforme maintenant, il ne pourra plus le faire avant la fin de la pleine lune.. mais qu'importe*

*reprend donc sa forme lycan et va à travers la campagne. piste les garous... parceque y'en a là, et pas qu'un seul*

*ne s'attarde pas lorsqu'il en croise des trop occupés à dévorer des chèvres pour le voir passer, cherche LA perle rare : celui contre qui il pourra se battre sans être certain de se faire broyer les os, comme ça aurait été le cas si il était resté à Londres*

*finit par en trouver un, et se refait la version de la chèvre de Monsieur Seguin : le laisse, toute la nuit, d'abord imaginer qu'il va le battre à plate couture, ensuite penser qu'il y arrivera, mais avec des efforts... un peut plus tard, espérer qu'il va s'en sortir... le jour est bientôt là.. plus que quelques minutes et il redevient humain...*

*s'assoit et regarde l'autre redevenir humain, en effet... mais pas lui...*

*le laisse se rendre compte de la mouise dans laquelle il se trouve et approche doucement, mais surement : l'autre est à présent top faible pour transplaner. ses dernières forces, il les passe à brailler pour que ses hommes viennent à son secours*

*le temps que les autres arrivent, leur "chef" est mort.. reste à savoir s'il l'était avant qu'il lui broie la nuque ou pas.*

*au petit trot, retourne à couvert, reprend forme humaine, et après avoir regardé les autres tourner à poil dans la forêt autour de leur "chef", transplane en souriant*

*bien fait ! l'avait qu'à jouer avec moi et j'aurais pas bouffé son gars ! NA !*

*qui a dit "crise d'adolescence ?*

pré au lard