Appartement ministériel

*Regarde le vieillard. Enfin il a l'âge de son père.
A la langue qui fourche, siffle et se reprend de suite, se met franchement à rire.*

Ah ah ah (oui elle rit donc...) Lucius Malefoy, le looser de service ah ah ah. Pardon mais là ..ah ah ah .
Je vous espérais mort, vous êtes la honte des mages noirs, enfin dans votre cas, plutôt gris.
ah ah ah

*A toujours sa baguette dans sa main, pas folle non plus. *

*Blêmit.*

*Garde le contrôle de sa voix, ne sort pas sa baguette - ne doit pas paraitre impressionné.*

- Et je suppose que vous, Grande Mage noire que vous êtes, vous avez des agents haut placés en France et een Angleterre ? J'en ai aussi en Bulgarie, mais je pense que là aussi vous en avez, à moins d'être aussi stupide qu'un Weasley...

Oh, bien sûr, j'ai essuyé un revers, mais que voulez vous, même s'ils sont stupides, les ennemis sont nombreux. Qui plus est, moi, contrairement à vous, tout le monde ne sait pas que je suis en vie et mal intentionné vis à vis des autres Ministres...

Quant à vous, il est certain que vous ne connaissez pas les revers : vous ne tentez rien.

*Flamboiement du regard*

"Il est vrai que moi j'affiche clairement mes convictions, je ne me suis pas cachée pendant 11 ans et je n'ai pas échoué en rampant devant un psychotique.
Chacun ses travers quant à mes desseins, ils dépassent un être tel que vous. Vous n'êtes pas de taille, il n'est pas besoin de faire du bruit ou des actions grandiloquentes et totalement ridicules pour réveiller des puissances qui patiemment attendent leur heure.
Enfin je vais vous laisser vivre et mener votre combat personnel, il me plairait de rire encore de vos échecs.
Je vous demande de disparaître je ne suis pas la plus patiente des ministres. "

*Sort sa baguette.*

- Il est à craindre que si l'un de nous disparait avant que nous n'ayons trouvé un accord, ce soit definitivement. Allons, soyez raisonnable : nous avons beaucoup à nous apporter, et plus encore à perdre en nous opposant.

"Mais je n'ai nul besoin d'un être tel que vous ! vous n'avez strictement rien à m'apporter. Vous, votre famille et même votre cher Serrrgueiii.

Quel intérêt aurai-je à traiter avec vous ?
J'ouvre des portes et je n'ai pas besoin d'obstacles devant icelles.
Vous ne m'êtes pas précieux Monsieur Malefoy.

Et pour votre gouverne, le pouvoir ne m'intéresse pas, il y a des grandes causes provoquant de grands effets, pas besoin de jouir de pouvoir sur les mortels pour atteindre la Vérité. *

*Lève sa baguette. *

"Je crois que votre visite s'achève.
Au revoir et bon vent."

"kresssha aasssrahhh arrrasssshh "
(pars jeune padawan sinon tu subiras le côté obscur de la force , nan euh "pars je te laisse la vie sauve"

- Fichtre ! Me voilà terrorisé ! Nous nous reverrons, Madame la Ministre, soyez en certaine...

*Eclate d'un rire sadique - sauver la face on a dit - et disparait dans un leger "plop" (il bosse pour arriver à transplaner sans bruit, ce qui est dans les capacités de Dumbledore doit être dans les siennes.)*

Caveau d'Yskol

*Assiste au départ du feu-mangemort drappé dans sa dignité
Eh ben la servitude conserve il a de beaux restes le vieux !

shllaaak atsss slaaaassshhkkaaaaasssss
(j'en aurais bien fait mon quatre heures (enfin c'est plus vulgaire mais bon... il y a des tites n'enfants qui lisent.)

Lueur encore flamboyante dans le regard, s'écoute un peu, la force sombre diminue et se repositionne en elle, dans le coeur, à sa juste place.

Va se coiffer et s'apprèter pour la nuit.
Décide de régler le cas Andrassi car les transfuges ne seront jamais tolérés au ministère. Elle doit savoir où va sa fidélité.
Lui enverra une lettre demain matin.
Le cas de Krum devrait bientôt précéder celui du Comte, mais en prenant un tour plus expéditif.*

Relève sa servante qui n'a pas encore émergé (frappe fort Dmitri...

Après une excellente nuit...

Son bureau

Son bureau

*poudre de cheminette, s'installe confortablement dans son fauteuil et appelle *

"Comte Andrassi ? "

Bureau.

*Se prépare un bain, prend un cognac bien français.*

*Va falloir que je me tire d'ici.*

*Commence à se déshabiller, s'emméle, tombe, se fracasse la moitié du crâne avec son verre à cognac, et l'autre moitié sur le robinet qui s'ouvre... début de l'inondation du ministère!*