Bureau de Junius - visite de Louve et Gordianus

appartements

*entre dans son bureau, s'asseoit à son bureau et expedie les affaires courantes (la guerre ne doit pas paralyser l'etat)*

*Frappe à la porte et entre à demi sans attendre.*

Monsieur le ministre, veuillez m'excuser mais la ministre de la magie anglaise est dans le hall d'entrée et demande à être reçue.

*un poil surpris*

- Faites la entrer sans attendre !

*applique sa methode de rangement rapide : ouvre un tiroir vide specialement prevu à cet effet et foure tout son capharnaüm dedans*

*Ferme la porte et repart vers l'entrée*

entrée

*Juste avant d'entrer dans le bureau que la secrétaire à ouvert.*

C'est Junius...

*Entre*

Bonjour monsieur le ministre comment allez-vous? (en français)

*se recompose un air decidé/sur de lui/bien dans sa peau (blafarde)*

*entre à la suite de la Ministre*

- Ave consobrine ! Quomodo vales ?

*se leve*

*sourire avenant pour la ministre*

- Bonjour, Mad...

*son cousin vient d'entrer dans la piece et de lui demander (en latin), comment il va*

- ... Ave, Gordiane.... Recte valeo.

*poursuit, en latin*

- et toi, tu as l'air de te porter à merveille ! Tu n'as pas beaucoup changé, enfin, pas du tout, mis à part que tu es un peu blafard.... Normal, j'ai entedu dire que tu etais un vampire... Mais que fais-tu ici ?

*se rappelle soudain qu'il a la dirigeante de son plus grand allié dans son bureau*

*en français*

- Bonjour, Madame. Je vais bien, merci, et vous même ? Puis-je me permettre de vous demander ce qui me vaut la joie de vous voir ?

Mmm cousins, c'est amusant, je ne l'aurais jamais deviné...

*Sourit*

Monsieur le ministre, je suis ici pour essayer d'effacer l'échec de la réunion d'hier, monsieur Spencer est parti en Bulgarie et en attendant nous n'avons aucun plan en cas d'attaque simultanée des Trimagie. J'étais en Ecosse hier et j'ai pu constater les dégats. Le pire est peut-être à craindre.

*decide de remettre les longues explications, etc. à plus tard, s'efface derrière la ministre, non sans articuler avec les levres mais silencieusement : "satelles" en designant Louve à l'intention de son cousin*

- En effet, Gordianus est mon cousin, mais j'ignorais ce qu'il etait devenu depuis la chute du Sombre Seigneur. Oui, en effet, la reunion a ete un fiasco... Je crois que la gent masculine a eu... du mal à garder son objectivité et son calme, pour des raisons magiques. Malheureusement, je ne vois pas ce que nous pourrions faire de mieux que ce que nos aurors font d'ores et deja.

Les femmes n'ont pas ce genre d'état d'âmes c'est certain. Mais au vu de cette réunion, il est à craindre que les gobelins soient mieux unis que nous ne le sommes aujourd'hui. Je pensais essayer de convaincre des gobelins alliés de nous servir de tauipe cependant ils sont grillés dans leurs pays respectifs mais dans un autre pays, ils pourraient essayer de s'infiltrer.

*Il compte rester debout longtemps!*

*se rend soudain compte qu'ils sont tous debout*

- Mais je vous en prie, asseyez vous !

*s'asseoit lui-même*

- Pour ce qui est des taupes, l'operation me parait risqué pour la vie des "taupes". D'autant que leur accent risque fort de les trahir, et qu'il est à craindre qu'ils soient suffisament organisés pour se renseigner sur tout nouvel arrivant dans leurs rangs...

Mais certaines personnes parlent les langues étrangères parfaitement et sans accent.

*S'asseoit*

Cette attente me paraît insupportable, nous laissons la main à l'ennemi.

- Mais, même en omettant l'accent, comment comptez-vous infiltrer des gobelins snas aide à l'interieur alors qu'ils ne sont connus de personne ? J'aimerais vraiment que votre idée soit realisable, mais j'ai de gros doutes à ce sujet, mais croyez bien que l'attente me pese autant qu'à vous. Je sais que cela me va bien de parler, car c'est bel et bien chez vous que la revolte est la plus virulente... Neanmoins, votre Ministere est à plusieurs centaines de kilometres du champ d'operation là o le mien est à moins de dix kilometres. Ce qui pourrait en evanche nous être tres utile, ce serait de trouver un dirigeant gobelin pret à discuter. Et aussi trouver les vraies causes de la revolte.

*Regarde un instant le ministre français comme subjuguée par les paroles de ce dernier et reste silencieuse.*

*les vraies causes de la révoltes...*

*devant le regard paumé de la Ministre*

- ... en effet, il me semble crucial de savoir la vraie cause des evenements, afin d'y remedier si possible, et ainsi ramener les gobelins à la raison...

*N'entend pas ses dernières paroles et reste encore quelques secondes figées. Puis s'anime et avec un grand sourire au ministre français.*

Vous avez parfaitement raison, mon cher Junius, en plus au point où on en est, aucune méthode ne pourra plus choquer qui que ce soit. Mais je ne veux pas vous déranger plus longtemps, votre emploi du temps doit être chargé.

*sourit, affable*

- Mais, l'eussiez vous voulu, votre presence est incapable de me déranger...

*queua ? Mon cousin aurait-il bon goût ?*

*regard tout rouge au cousin*

*murmure inaudible, mais le cousin devrait pouvoir lire sur les levres :*

- Cunnus mei. [en gros : "cette belle femme que tu vois là est destinée à être MON amie de coeur", en plus concis et trivial]. Nonne intellexit ? [= "Tu as bien compris ?"]

*observe sa callipyge proie*

*N'a rien vu, rien entendu...*

Oh mais vous êtes charmant. *Les vélanes peuvent aller se rhabiller!* La courtoisie française n'est pas morte à ce que je vois.

*Se lève.*

Mais peut-être voulez vous vous entretenir entre cousins, je peux attendre à côté, en empruntant une plume et du papier à votre secrétaire j'aurais de quoi m'occuper quelques instants...

*dès que Louve a le dos tourné*

- Sponsione tentas ? [= on parie ?]

*se lève et fait un baisemain à la Ministre, puis lorsqu'elle sort, ferme la porte derrière elle*

(tout le reste de la conversation est en latin, mais je me sens pas de faire la traduction juxtalineaire integrale)

- Alors, cousin, quoi de neuf ? Tu es devenu garde du corps ? Ou bien admires-tu plus que tu ne gardes ?

*sourire affable et forcé*

- J'admire, et je fais tout pour sauvegarder ce qui est beau. Et toi ? Tu ne vieillis pas trop ? Vous autre, mortels, vous vous usez tellement vite !

*on choisit ses amis, mais rarement sa famille...*

- Non, merci, je suis encore suffisemment en forme pour faire tout ce que je veux. Bo, ce n'est pas pour te mettre dehors, mais je suis occupé. Au revoir.

*raccompagne son cousin à la porte et referme cette dernière derrière cet avant-dernier.*

*soupire et va s'asseoir à son bureau.*