Quartier d'isolement politique

Ici sont cantonnés les opposants au bien être du peuple sorcier bulgare.


(oui c'est assez sommaire.. mais bon c'est pas un 4 étoiles non plus...)

*Ressort du quartier d'isolement une lueur asssassine dans les yeux, a recouvré sa contenance de vélane présentable ce qui a n'a guère été le cas lors de la visite aux détenus, un en est mort de peur.

Qu'importe, il en reste toujours assez pour assouvir la soif de vengeance des anglais. *




salle des pas perdus

Bureau de la Ministre ---> salle des pas perdus

*A la recherche de Dana Ilancka, Ministre de la guerre*

La trouve, s'incline très bas...

Lui conte toute l'histoire et lui demande de bien vouloir déférer à l'idée de la Minsitre et avertir le Comte Andrassi de son arrestation imminente.*

*Comprend de suite l'enjeu.
Encore un adepte de Malefoy.
A une idée, se rend en personne en Angleterre. Inventera. *

Cheminée

Ambassade Andrassi

Ici sont conduits des individus subversifs pour y faire Merlin sait quoi avec Mordred sait qui...


salle des pas perdus




*arrive en compagne de sa garde et du gitan
Tout le monde s'installe autour d'une table*

Parlez ! Qui êtes-vous ? pour qui travaillez-vous ?

*S'installe. Prend son temps pour s'installer. Prends celui de poser ce qu'il vient de piquer à coté de lui, histoire que l'autre voie bien qu'il volait, elle qui a l'air tellement heureuse d'avoir pensé trouver un dissident. Puis prend le temps de répondre.*

-Je suis ce que vous appelez un rom, un gipsy, un manouche, un voleur de poules quoique je préfère les oies, ou autres choses plus brillantes...

*désigne la joaillerie sur la table*

-...mais moins nourrissantes. Je ne travaille pour personne.

Bien entendu vous n'avez aucun papier d'identité pour proouver qui vous êtes ?
Aucun laissez-passer ?


*la porte s'ouvre , s'arrête de parler prète à tancer vertement l'importun*

Salle des pas perdus



*Entre et ouvre le passage à sa ministre, qui est toujours très pâle mais a le pas plus assuré.

Se retire dans un coin de la pièce.*

*a connu de nombreux flics et de nombreux postes et de nombreux interrogatoires dont il s'est toujours sorti grâce à un savant mélange de bétise policière, d'incompétence administrative, de chance et d'ensorcellement. Doit dire que ces geoles sont loin d'être le grand luxe mais coté compétences il a vu mieux. recadre l'entretien un brin.*

-En même temps je ne vois pas vraiment ce que j'aurais à prouver. Vous n'avez meme pas mon nom.

*se renfonce dans son siège alors que l'autre détourne son attention vers la porte*

*S'incline très bas devant sa maîtresse*

Debout maraud ! et salue notre ministre !

*Des magipoliciers se font fort de le mettre à genoux, à 5 contre 1, y parviennent*

*Lasse et limite abbatue.. ah elle est belle la ministre...
Fait un signe collectif pour la relève.*

Je pensais vous trouver seule Dana.
Qu'est ce que cela ?

*Désigne le prisonnier, d'une voix neutre et par un geste las*

*Allait répondre "un voleur de poules" mais avant de pouvoir songer à ouvrir la bouche s'est retrouvé les genoux sur le béton, après avoir été cogné contre la table, et un coup judicieusement placé contre le cote lui coupe suffisamment le souffle pour le faire taire.

Donc ne dit rien.

Mais n'en pense pas moins.*

*Se relève donc, à l'affut du fameux geste qui parfois tarde à venir...
Pâle à son tour, a déjà commis quelques bévues.... *

Il s'agit d'un voleur que nous avons surpris sans laissez-passer, un gitan de basse extraction.

Nous l'interrogions pour en savoir plus.

*Baisse la tête*

*Se rembrunit aurait bien voulu parler de sa peine à Dana. A du mal à cacher sa déception mais reprend courage à l'énoncé de la condition gitane de l'homme
D'une voix plus mordante*

Un ami de Litza je présume.
Interrogez moi cela et soyez assurés qu'il dise tout.

*Va pour partir*

*La Ministre, bien qu'inconsciemment a tapé là ou ça fait très mal.
Farder rugit, essaie de se débarasser des aurors pour se crier son indignation debout, mais ne réussit qu'à recevoir un autre coup.

Ce qui ne le fait pas taire.*

-Jetez moi dans le Danube, écartelez-moi mais ne dites JAMAIS que je suis un ami de ce chien! Vous m'entendez espèce de...

*Reprend son souffle avant d'enchainer sur ce qui s'annonçait une belle tirade, reprend une baffe et change de stratégie. Redresse le menton effet presque réussi malgré le bleu qui apparait sur sa joue*

-Je suis Farder Coram, du Clan du Corbeau. Je tuerais Litza de mes mains...

*autre baffe. décidemment une fois que ça commence ça ne s'arrête plus un auror bulgare*

*Hausse un sourcil, vaguement intéressée, puis un peu plus que vaguement. Pousse le rom dans un autre retranchement...*

Oui bien sûr vous ne songez qu'à sauver votre misérable carcasse, ils disent tous cela et rampent devant ce roi autoproclamé.

Vous vous gardez bien d'affirmer que vous le servez, vous n'êtes pas assez stupide mais après un traitement spécial, votre vilénie sera révélée.

Il est à vous messieurs.

Dana j'ai à vous parler d'évênement récents très graves.

*Ne s'occupe plus du scélérat*

*Trop c'est trop. Oublie toute idée de coopération (idéalisée), de soumission (forcée) ou d'apathie. Bascule en arrière, déséquilibre un des gardes qui le tenait, le fait tomber sur l'autre, profite du désordre causé par ces lents balourds pour rattrapper son retard en matière de coups mal placés et pour coller la Ministre, un poignard sur la gorge, contre le mur poisseux. Le poignard est aux armes du clan Coram bien sur.

Siffle à l'opportune en ignorant les baguettes pointées sur lui.*

-Un mot de plus de ce style et vous êtes morte. JE NE M'INCLINE PAS DEVANT LUI! Ce bâtard a tué mon père, et je le tuerais!

*N'arrive qu'à siffler quelques injures en parseltongue, cela n'a pour effet que d'entailler sa peau.
Essaie de se contenir et d'articuler calmement car bon va pas s''égorger de bon gré non plus...*

Dans ce cas j'ai du travail pour vous, si vous avez de l'honneur.

*se remet lentement de sa colère en se disant que les gadjos sont tous fous. Un coup elle l'insulte l'autre elle lui propose du boulot. Ils sont tous tarés là-dedans. Cela doit être à force de vivre enchaînés et enfermés dans leurs baraques...*

-Du travail? Du travail pour vous? J'ai certainement plus d'honneur que vous n'avez de conscience, mais pourquoi travaillerais-je pour vous?

*laisse le poignard là où il est histoire qu'elle voit qui marchande*

*Aurors et
Ministre de la guerre


sont extrêmenents embêtés bien que un ministre de perdu...

Mais bon après faut endosser les conneries, expliquer à la populace et cela faut reconnaître que Pandora sait bien faire...

Ne bougent pas, prèts à réduire en bouillie le Rom.
Enfin s'il tue Pandora, on a quand même de la dignité.*

*plisse les yeux, trouver une idée...*

Vous osez poser une telle question ?
C'est donc que vous êtes moins intelligent que je ne l'aurais cru ou que vous ne souhaitez pas réellement nuire à Litza.

*oui va encore le vexer et alors ? c'est sa spécialité non ? *

*Relâche la pression sur la gorge de la Ministre et la regarde fixement.*

-Vous m'expliquerez juste comment je pourrais le tuer quand je ne peux l'approcher à moins de quinze lieues et que tous les siens me tueraient à vue pour la prime...

*s'écarte de la femme et baisse le poignard*

-En même temps si vous vous proposez gentiment pour me donner le moyen de l'approcher, ou des renseignements de valeurs... Il se peut que j'aie une dette à votre égard.

*Et s'asseoit, grand prince*

*Respire mieux quand même...*

Si vous servez les intérêts de la Bulgarie, vous déservez ceux de ce mécréant.
Il suffit juste de mettre au point une stratégie. Cet individu n'était pas dans mes priorité mais il se pourrait que celles-ci évoluent....

Dana, accompagnez moi, ainsi que vous, dans mon bureau, nous serons plus à nos aises pour discuter.

*Sans plus attendre sort Bureau via salle des pas perdus.

*au moins il a gagné de sortir de la cellule, et selon son ordre de priorité c'est déjà un bon pas en avant. Il ne reste plus qu'à voir ce que la gadjo peut lui proposer. Il n'en est plus au sale boulot près mais tiens à ce que ça rapporte....

suit donc, en évitant magistralement un regard acerbe des gardes, tout en pansant ses cotes endolories.*