Barjow et Beurk

Célèbre échoppe recélant des trésors de magie noire.
Curieux prenez garde ! les âmes pures ne sont pas les bienvenues...
Les mauvaises intentions trouveront leur bonheur parmi les innombrables références de la boutique.

*Entre dans la boutique, toujours ouverte...*

"Barjow ? vous êtes là ? "

*Un bruissement, un raclement de chaussures, très désagréable, le vieux Barjow arrive, toujours aussi laid et poisseux, voix collante, grasse : *

"Monsieur Parke ! quel plaisir de vous revoir en ces murs, cela fait bien une année, n'est-ce pas ? que me vaut l'honneur..."

"Barjow, je souhaiterais que nous reparlions de l'objet que je cherchais et cherche toujours"

*le vieux Barjow recule malgré lui*

"Oui, oui vous m'avez compris. Des rumeurs l'annoncent de retour ici, à Londres, je le veux, je suis pret à tout et bien plus pour cela.
Je repasserai demain et autant de fois qu'il le faudra, trouvez le Barjow, trouve le, vous serez récompensé !"

*Sort de la boutique, après l'habituelle courbette de Barjow*

Rue

*Entre dans la boutique, toujours ouverte...*

"Barjow ? Amenez vous ! "

*Un bruissement, un raclement de chaussures, très désagréable, le vieux Barjow arrive, toujours aussi laid et poisseux, voix collante, grasse : *

"Monsieur Malefoy ! Quel bon vent vous amène en ces lieux ? Plus personne ne pensais jamais vous revoir ici !"

"Montrez moi ce que vous avez en joaillerie"

"Vous voulez des bijoux ?"

"Pas n'importe lesquels, montrez moi ce que vous avez et surtout quels prpopriétés ils ont"

.../...

*Drago repart avec un coffret contenant un collier ainsi qu'un bracelet de perles et un écrin dans lequel repose une alliance*

Rue

*Entre chez Barjow et regarde autour de lui, tombe nez à nez avec un certain sarcophage qui n'a pas bouger depuis plus de 15 ans.

Monsieur Malefoy, quel plaisir de vous revoir. Je reconnais bien là les bons et fidèles clients comme l'était votre père. Que puis-je pour vous? Les bijoux ont-ils été appréciés?

*Drago se tourne vers le vieux commerçant et sourit (enfin un sourire malfoyesque).*

Oui, mais bien sûr je compte sur vous pour garder secrètes leur propriétés, surtout celles de la bague, je ne crois pas que ma future épouse apprécie de porter l'alliance d'Ann Boleyn. Excellente idée d'alchimiste ces joyaux qui changent de couleurs quand... Enfin je ne m'inquiète guère.

*Il vaudrait mieux pour elle et pour l'autre d'ailleurs.*

Aujourd'hui j'ai besoin d'un cadeau pour ma fille cadette, Emma, elle vient de perdre sa mère. Bien sûr cela ne lui la ramènera pas. *Manquerait plus que ça!* Mais pour la consoler un peu.

Très bien, je vois, je vois, mes sincères condoléances monsieur Malefoy. Mais quatre mois de deuil seront vite passés.
Que diriez vous d'un miroir confident?

Genre Blanche Neige? Pas de manipulation de l'esprit? Pratique à transporter, et sachant rester à sa place?

Mais tout à fait monsieur Malefoy, et ne disant que la vérité. Un vrai détecteur de mensonges si on le désire.

*Parfait, encore mieux.*

Très bien, je le prend, mais si je constate un quelconque inconvéniant, croyez bien que je serais retrouver le chemin pour venir ici. Combien?

*Le marchand donne son prix, Drago paie tandis que le miroir est placé dans un écrin de velours. Drago le prend et sort du magasin.*

*Entre dans le magasin toujours à la recherche de l'artéfact magique qui lui fait défaut. *

"Barjow ? "

*Entre et enlace la taille de son bellâtre, murmure*

"je crois qu'il faudra revenir le voir plus tard.
J'ai envie de faire un tour. "


*Le dit Barjow arrive
regard noir, feulement, pas besoin de parler il a compris

Connor aussi d'ailleurs.

Sortent, conserve les mains là où il faut.*

Le Vampire Ecarlate

*Drago entre*

Barjow ! Magnez vous !

*Barjow sort de son trou et s'avance vers son comptoir.*

Oh mais c'est monsieur Malefoy. Que puis-je pour vous servir?

Je veux un objet qui abaisse les pouvoirs d'occlumencie d'une personne, voire qui facilite la légilimencie

Vous devez bien avoir ça, non ?

Oh c'est très rare, monsieur Malefoy, mais c'est bien ici que vous trouvez la rareté.

*Sort un coffret de sous son comptoir et l'ouvre, il contien trois talismans.*

Voyez ceci, ce sont des catalyseurs de pensées... Ils permettent de joindre par la pensée un détenteur de talisman, où que vous soyez... Il était très utilisé par les époux Concini et Maris de Médicis.

Sa valeur est inestinable.

Je n'en doute pas

Et c'est à sens unique ou à double sens ?

*Intéressé et inquiet*

Cela dépend de la puissance du sorcier.

Mais le talisman portant le rubis est plus puissant que les deux autres.

*Sort l'un des talismans.*

*Prend le rouge et le tourne dans ses mains*

Il y a-t-il impérativement besoin d'un contact avec la peau ?

*Les talismans ne sont pas montés sous forme de collier et sa cible risque de ne pas porter de bijoux*

Non mais il faut le porter sur soi, mais on peut les faire monter en bijoux.







*Si c'est pas un pro de la vente ça. ça va avec tout mon cher monsieur, c'est on ne peut plus à la mode cet été...*

Très bien, je les prends, cela fera combien ?

*Met celui qui comporte le rubis dans l'un de ses poches*

Et je suppose que vous prendrez une grosse commission si je vous demande de modifier légèrement la forme de l'un d'eux ...

Cela dépend de ce que vous désirez monsieur Malefoy.

*Compte déjà le nombre de mornilles.*

J'aimerais que vous me fassiez une broche ...

*Examine les deux autres et sort de la boîte le plus verdâtre*

De celui-ci

*Le pousse du doigt vers Barjow*

Sans l'écrin et avec la transformation ça me fera combien ?

*Barjow fait semblant de réfléchir.*

Et bien ce sont des pièces uniques et extrèmement rares comme je viens de vous le préciser. Le travail d'orfèvrerie est délicat.... soit 1500 gallions.

Je prends le tout pour 1000 gallions, pas moins et je veux que la broche soit prête demain.

*Sort une bourse, paye et sort pour transplaner*

Manoir Malefoy

Ce sera fait monsieur Malefoy, à demain alors, je vous souhaite une bonne soirée.

*Compte les pièces.*

chemin de traverse, rue

*Entre, récupère la broche et s'apprête à ressortir quand une idée lui traverse l'esprit*

*Je n'ai rien à y perdre*

Barjow, vous connaissez une bijouterie dont les vendeurs sont corruptibles ?

- Gemme les bijoux, en France est une bijouterie de très bonne réputation mais un de mes cousins s'y est récement fait embaucher. S'il peut arrondir sa fin de mois, il est à votre service. Demandez Sam Plê.

*Sort*

Allées Cachées, France

Chez son pôpa (bas quartiers de Londres)

*Pénètre dans le magasin, un air satisfait sur le visage, s'approche du comptoir.*

"Bonsoir, j'aurais besoin de quelques ingrédients s'il vous plait :
- une boisson consacrée
- une lux perpetua, dans un linceul noir, cela va sans dire
(oui oui c'est nouveau)
- et un inhibiteur de magie

J'ai de quoi payer."

*laisse tomber des piécettes sur le comptoir et rend son regard plus dur.*

*Barjow remarque le changement d'attitude, trop radical pour tolérer une quelconque contestation, surtout depuis qu'il a entrevu la lueur pas gentille gentille dans le regard de la femme.

Des inhibiteurs de magie ? doit avor cela dans sa réserve.
Y va donc.

Revient après quelques minutes avec les trois objets demandés, la lux perpetua dans un écrin noir, lui-même enfermé dans un coffret en bois précieux. *

Voilà Madame
200 gallions feront l'affaire.

*regarde l'or sur le comptoir, il doit y avoir plus, tend la main et ramène vers lui les pièces.
S'incline, ses cheveux sales touchant presque le bois*

*Moue dédaigneuse à la vue du rapace qui ramasse son or,
songe : l'or ne rend pas la vie*

"Bien"

*Prend les objets les met dans un sac, lui même échouant gracieusement sur son épaule*

"Je ne suis jamais venue ici, il ne s'est rien passé, suis-je claire ?"

*Lueur du paternel dans le regard ne permettant même pas la moindre réplique.
Sort songeuse*

ruelle

(Barjow toujours)

*S'incline encore plus bas, surtout pour ne plus croiser à nouveau ce regard démoniaque.
Se relève une fois la porte refermée. Tremble légèrement.
Mais les affaires sont les affaires, compte son or.
Part dans l'arrière boutique se remettre de ses émotions avec un whisky pur feu.*

(l'alcool c'est mal !)